Le Pont de Rama, jeu de
plateau, est maintenant disponible...
Vous êtes curieux ? Vous aimez voyager ? Vous aimez jouer ? Ce jeu
est fait pour vous !
Le temps d'une partie, vous allez pouvoir faire le tour de deux
pays mythiques connus pour leurs
contrastes, leurs histoires
pimentées et leurs parfums de curry
: l'Inde et le Sri Lanka.
L'objectif ? Construire un pont entre ces deux pays à l'image du
Pont de Rama construit avec l'aide
d'Hanuman, le dieu à tête de singe.
Le pont a permis à Rama de délivrer
sa belle, Sita, des mains de Ravana.
Tout cela vous est expliqué dans le
Ramayana, une épopée majeure de
l'Inde.
Dans vos bagages, vous aurez 9 cartes destinations, l'une vous
permettra d'aller chercher de la
cannelle, une autre du riz, une
autre encore un chameau... Toutes
vous permettront de définir votre
itinéraire.
Vous serez aussi muni d'un billet d'avion, peut-être également
d'une carte bad-karma à remettre à
l'un de vos adversaires ou/et même
d’une carte éco-planète. Celle-ci
peut vous rapporter des points mais
peut aussi rendre votre voyage plus
difficile. A vous de choisir...
Attention ! Le voyage n'est pas un long fleuve tranquille. La vache
sacrée risque de vous bloquer le
chemin. Vous pouvez aussi être
obligé d'assister à un match de
cricket ou passer des vacances aux
Maldives ! Cela vous ralentira mais
profitez-en !
D'autres informations sur
Le Cinéclub Les Couleurs de la Toile, à Paris,
propose une projection
exceptionnelle.
Inde, 1938. Alors que Gandhi arrive
au pouvoir, une jeune fille de 7 ans
perd son mari et se retrouve dans
une maison où les veuves hindous
vivent en pénitence. Dans cet
univers cadré et mélancolique, la
fillette chamboule les habitudes
jusqu'à l'impensable.
Née en Inde en 1950 dans la région du Pendjab (frontalière de
l’Inde et du Pakistan), Deepa Mehta
émigre au Canada en 1973, avec son
mari le documentariste canadien Paul
Saltzman. Water est le troisième
volet de la trilogie des Eléments,
qu’elle a écrite et réalisée entre
1996 et 2005. Ces trois films
traitent de questions sociales et
politiques indiennes dans un style
qui allie codes du cinéma indien et
classicisme occidental.
La projection sera suivie d'une discussion en présence de:
- Lola Mathus, diplômée de
SciencesPo Paris, étudiante à l'ESCP
Europe, a travaillé pour Osian's
Cinefan Film Festival de New Delhi
et a récemment intégré l'équipe du
Festival du film d'Asie du Sud
Transgressif
- Némésis Srour, doctorante à l'EHESS
et directrice artistique du FFAST
(Festival du Film d'Asie du Sud
Transgressif)
- Floriane Zaslavsky, doctorante à
l'EHESS, attachée au Centre d'Etudes
de l'Inde et de l'Asie du Sud.
Durée du film : 1h58
RDV le jeudi 5 décembre 2013 à 20h30 (précise) au Studio des
Ursulines.
10 rue des Ursulines, 75005 Paris
RER Luxembourg (sortie rue de l'Abbé
de l'Epée).
Métro Place Monge.
BUS 21 et 27 (Feuillantines), 38 et
82 (Auguste Comte), 84 et 89
(Panthéon).
Tarif : 6,50 euros / Carte de
réduction : 20 euros pour 4 séances.
Lundi 4 novembre, à 18
h. 15
Panthéons indien et
iranien, différences et
similitudes
Conférence, avec
projection, par
Céline Redard,
chercheuse au Collège de
France, chargée de cours
à l’EPHE
Lundi 18
novembre, à 18 h. 15
Des
métaux pour les dieux et
les rois : parallèles
indiens et sud-est
asiatiques Conférence,
avec projection, par
Brice Vincent,
docteur en langues,
civilisations et
sociétés orientales,
université Paris III -
Sorbonne Nouvelle.
Quelle place fut réservée à des métaux tels
que l’or, l’argent, le cuivre et ses
alliages, ou encore le mercure, dans les
anciennes sociétés de l’Inde et de l’Asie du
Sud-Est ?
Pour répondre à cette question qui a trait aussi bien à l’histoire
socio-économique qu’à celle des religions et
des idées, Brice Vincent s’intéressera aux
diverses valeurs et croyances qui ont été
associées à ces matériaux de choix sur
chacune des rives du golfe du Bengale. Il
fera plusieurs parallèles qui montrent
l’influence culturelle de l’Inde sur les
grands royaumes du Sud-Est asiatique. Il
évoquera aussi les rapports entretenus entre
le pouvoir royal et les artisans spécialisés
dans la mise en forme de ces métaux.
Lundi 2
décembre, à 18 h. 15Nymphes et beautés
célestes des temples de
l’Inde
Conférence, avec
projection, par
Amina Taha-Hussein Okada,
conservateur en chef au
musée national des Arts
asiatiques - Guimet.
La conférencière
évoquera notamment "L'éblouissante
variation, au mandala du temple de Belûr (Karnâtaka),
sur le thème du Beau féminin qu'incarnent
avec infiniment de grâce et d'éclat les
beautés célestes surasundari ." (Hoysala,
dieux de l'Inde et beautés célestes,
Imprimerie Nationale Éditions, 2013).
Amina Taha – Hussein Okada signera cet ouvrage après sa conférence.
Les Éditions associatives Brumerge publient un nouveau
recueil de textes dans sa collection
de récits de voyage : La route
des Indes des années 60-70.
Durant une dizaine d’années, notamment de l’après 68 jusqu’à la fin
des années 70, des milliers de
jeunes occidentaux se sont rendus en
Inde par la route, créant ainsi une
grande migration, non pas pour
envahir ou conquérir, mais pour
découvrir d’autres cultures, une
autre vision du monde… Une vingtaine
de participants témoignent ici sous
forme de récits, notes de voyages,
aérogrammes, croquis ou photos, de
leur périple et de leurs
émerveillements… Parmi eux, le
photographe Olivier Föllmi, les
journalistes et écrivains Olivier
Germain-Thomas et François Gautier,
le traducteur Bernard Turle, des
fondateurs d’Auroville, un
musicologue, mais tous chacun avec
sa quête.
Ce nouveau recueil s’inscrit dans une démarche d’édition solidaire
puisque les droits de tous les
auteurs et une marge humanitaire
Brumerge seront reversés à
l’association « Un Rêve Indien »
pour le fonctionnement du
dispensaire de Céline Hegron dans un
quartier déshérité des Bénarès.
Un précédent recueil de textes sur l’Inde « Les Amoureux de
l’Inde » et le journal d’une
volontaire à Bénarès « Un Rêve
Indien » avaient contribué à
l’ouverture de ce dispensaire en
2012. La route des Indes des années 60 – 70 ISBN : 9782917745472
280 pages, 19 €
Les Éditions Brumerge
http://les-editions-brumerge.wifeo.com.
Les Éditions de l'Asiathèque - Maison des Langues du
Monde - publie un ouvrage d'Abdul
Bismillah, un recueil de douze
nouvelles, en versions française et
hindi. Son titre : Raf Raf
express.
Les douze nouvelles présentées ici décrivent au ras du quotidien
l’Inde des villages et des bourgs,
celle de l’homme de la campagne
découvrant la grande ville. Les
clivages entre milieu hindou et
milieu musulman, fréquemment activés
par les politiciens locaux, Abdul
Bismillah en a fait personnellement
l’expérience, et les mésaventures de
ses personnages, souvent originaux,
toujours attachants, s’inspirent de
faits vrais, directement observés,
ce qui leur donne une saveur et une
authenticité très particulières.
L’ouvrage est en édition bilingue
(textes français, puis textes
originaux).
ISBN : 978-2-36057-022-5
Poids : 353 g - Format du livre :
13,5 x 21,5
Nombre de pages : 320
Version : français et hindi
Première publication : 2012.
Sur internet :
http://www.asiatheque.com/fr/book/raf-raf-express.
Formation massage
indien invite en décembre, à
Paris, un médecin ayurvédique
pour animer un stage de massage sur
quatre jours et des consultations
ayurvédiques entre le 13 et 16
décembre. Directeur et enseignant au sein du LCICI – Centre
International de Champissage Indien
et Ayurveda de Londres. Moses Chundi
est originaire de l’Inde et il a
assisté Narendra Mehta et son épouse
Kundan Mehta, fondateurs du LCICI,
pendant plus de 10 ans dans
l’enseignement du Champissage Indien
(Massage Indien de la Tête), du
Massage Facelift de Kundan Mehta et
du massage ayurvédique des pieds
Kansa Vatki. Il est un enseignant de
haut niveau rempli d’une grande
empathie et toujours prêt à soutenir
et encourager les élèves.
Tous les détails sur
http://formation-massage-indien.com/le-champissage-indien-3/
Raghunath Manet n'est pas seulement le
danseur que l'on connaît si bien, il
est aussi musicien et se produira,
pour deux concerts, à la vîna,
les 29 novembre et 2 décembre
à la Cité Internationale des Arts, à
Paris (4e arr.).
Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site de l'artiste :
www.raghunath-manet.com.
La
présence et la culture et indiennes
aux Antilles sont trop souvent
méconnues ; Adagio pour la Da,
l'ouvrage de Jean-Samuel Sahaï, va à
coup sûr contribuer à les faire
sortir de l'ombre. Un livre à ne pas
manquer.
TEMOIGNAGES :
* Plus qu’un récit et un devoir de mémoire, c’est un éveil à la conscience. Jean S. Sahaï forge la chaîne d’union fraternelle caribéenne et invite chaque maillon à s’insérer, pour autant qu’il se reconnaisse. Avec la retenue, la profondeur et la liberté d’esprit dûs à sa culture spirituelle, il nous pousse vers nous-mêmes, sur des pages qu’il a pris le temps d’écrire, pour nous, avec nous. C’est un cadeau rare, chez nos écrivains ou romanciers… Un « monument » pour ceux qui sont issus de Kala-Pani. – Rosine Maroudy, Cadre commercial IATA du transport aérien en Guyane Française.
* Pourquoi Henri Sidambarom n’est-il pas mentionné dans l’histoire de la Guadeloupe, ni honoré comme Victor Schœlcher dont un musée porte le nom à Pointe-à-Pitre ? Jean S. Sahaï confronte le regard porté sur les Indiens des îles avec les propos d’Aimé Césaire et tout ce que le poète de la Négritude doit au giron de sa Da tamoule. – Scarlett Jésus, Critique d’art, inspectrice honoraire de l’Education Nationale.
* Et si Césaire avait rencontré Gandhi durant ses études ? Jean S. Sahaï met son talent d’essayiste au service du désenclavement de la saga Indo-Antillaise. Celle-ci doit prendre place une fois pour toutes dans les études post-coloniales. Si l’Inde a récemment honoré les ancêtres engagés, à Calcutta et Pondichéry, nul doute qu’un tel ouvrage amènera une prise de conscience dans les îles, en France et au-delà. – Christelle Gourdine Mandjiny, entrepreneure guadeloupéenne basée à Pondichéry.
* L’Indianité est une richesse partagée par tous aux Antilles. Mon bisaïeul Henry Sidambarom a œuvré pour l’intégration. C’est dans cette logique que la société guadeloupéenne s’est construite. De la mixité est né l’Antillais moderne. Le travail de Jean S. Sahaï est important pour notre génération. Il ouvrira les consciences. – Valencia Sidambarom, Clerc de notaire, de la 4ème génération de la famille Sidambarom en Guadeloupe.
* Combien de temps faut-il attendre pour être de son pays ? Dix ans, cinquante ans, cent ans ? À jamais ? À chacun de savoir qui il est et de se positionner comme tel ! Henry Sidambarom l’a fait. Arrivés à des époques différentes, dans des conditions différentes, pour des raisons différentes, au bout du compte, Guadeloupéens nous sommes ! Nous avons en commun les codes profonds qui font de nous ce peuple. L’écriture de Jean est fondamentale. C’est dans l’ouverture, dans la connaissance de chacun, que s’amorce la reconnaissance de notre unité. – Carole Venutolo-Legrix, Responsable au WTC de Jarry, Soprano lyrique, Guadeloupéenne d’origine italienne et libanaise.
* Il a fallu que Jean S. Sahaï soit là, qu’il se décentre, pour tenir ce langage de vérité. Il nous amène avec brio à la prise de conscience que tout être est Homme, d’où qu’il vienne, que nous sommes tous venus d’ailleurs et que nous construisons ensemble notre devenir, quels que soient nos Kala Pani. – Marie-Fleur Molia, professeur des écoles, auteur de « Saturnin Molia, coureur cyliste à vie ».
* Cette belle étude nous rappelle que la Da de Césaire était une Indienne et qu’elle lui chantait des comptines en tamoul, que la commune d’enfance de celui-ci est celle de la Martinique qui compte le plus d’Indo-Martiniquais, et que toute sa vie, Césaire s’est passionné pour la langue tamoule, l’une des plus vieilles de l’humanité, faut-il le rappeler. Oui, dans la Négritude de Césaire, il y a eu une part non négligeable d’Indianité. - Raphaël Confiant, Écrivain, professeur des universités (UAG).
Les éditions du Sonneur publient un
troisième ouvrage de l'écrivain
indien Tabish Khair, après
A propos d'un thug et Apaiser
la poussière. Comment
lutter contre le terrorisme
islamiste dans la position du
missionnaire est un roman
présenté ainsi par l'éditeur :
"Aarhus,
au Danemark. Le narrateur, un
Pakistanais athée et pragmatique,
vit en colocation avec Ravi, un
Indien flamboyant et sceptique, et
Karim, Indien lui aussi, qui partage
son temps entre son travail de
chauffeur de taxi et sa pratique
austère de l’islam. Alors que le
narrateur tente de se remettre de
son récent divorce et que Ravi tombe
éperdument amoureux d’une Danoise,
les trois hommes se retrouvent
brusquement mêlés à une affaire où
règnent soupçons, méfiance et peur.
Karim est-il le dangereux terroriste
que le narrateur voit en lui ?
Pourquoi disparaît-il si
régulièrement ? Dans ce roman
audacieux, Tabish Khair met en
lumière, avec humour et vivacité, la
mince frontière entre foi et
fanatisme, jugement et préjugé,
destin individuel et histoire
collective.
L’auteur
Poète, romancier, journaliste,
critique littéraire, Tabish Khair
est professeur de littérature à
l’université d’Aarhus, au Danemark.
Né à Gaya, dans le Bihar, en 1966,
il a publié son premier recueil de
poèmes,
Where Parallel Lines Meet,
en 2000 chez Penguin. Son premier
roman,
Apaiser la poussière, publié aux Éditions du
Sonneur en 2010, fut sélectionné
pour le Encore Award, prix décerné
par la Société britannique des
Auteurs. Il collabore régulièrement
à divers journaux et magazines
britanniques, américains, indiens,
danois… tels The
Guardian, Outlook India, Times of
India, The
Independent, The
Wall Street Journal,
etc."
Traduit de l’anglais (Inde) par
Antonia Breteuil
20 €
Format : 122 x 192 mm
296 pages
ISBN : 978-2-916136-68-4
Pour feuilleter les premières pages
du roman :
cliquez.
Dans le cadre des Rencontres Photographiques du
10e, à
Paris,
retrouvez
une
exposition
de
Benjamin
Genissel,
intitulée Calcutta
Express.
Calcutta
Express
se propose
de montrer
des aspects
instantanés
du
foisonnement
de Calcutta
en Inde et
de ses
habitants,
de leurs
façons
d’être, de
leurs
regards et
de la
manière dont
ils se
fondent
entre les
murs colorés
et décrépis
de leur
ville
fascinante.
L'exposition est présentée du 17 octobre au 30 novembre, du
mardi au
samedi, de
10 heures à
20 heures, à
la librairie
La plume
vagabonde -
32, rue de
Lancry • M°
Jacques
Bonsergent -
01 43 57 49
79.
L'association So
Bollywood présente : les Journées du cinéma indien & Bollywood Depuis 2010,
l'association So Bollywood vous invite chaque année aux Journées du cinéma
Indien & Bollywood à Montpellier.
Cet évènement est une opportunité unique de découvrir ou redécouvrir sur
grand écran les œuvres colorées et vivantes du plus important centre de
production cinématographique mondial ! Voici le programme de l'édition 2013.
Samedi 23 novembre 14 h "HARISHCHANDRACHI
USINE" - Un film de Paresh Mokashis retraçant l'histoire du début de
l'industrie cinématographique indienne. En
savoir plus sur le film 19 h 30 DANSES
INDIENNES PAR L'ASSOCIATION MOZAIKA
Spectacle en 6 fabuleux tableaux Bollywood assomozaika.jimdo.com
"TAAL" - Un film indien réalisé par Subhash Ghai avec Aishwarya Rai
Bachchan et Anil Kapoor...
En savoir plus sur le film Dimanche 24 novembre14 h "TAARE ZAMEEN PAR" - "Des étoiles sur la terre" en français, un
film réalisé par Aamir Khan qui joue également le 1er rôle. Avec Aamir Khan
et Ishaan Awasthi. En
savoir plus sur le film 17 h 30 à 18 h 45 "DES RANGILA" – LES COULEURS DE L'INDE - Un
spectacle de Flora Devi
Défilée de Saris, Chants et Danses Bollywood : Anne Nataraj et ses élèves,
Flora Devi, Nidhi
Costumes Bollywood par Priya Baboulal
Saris et tenue de Flora Devi par Kanchan 19 h 30 "SWADES : NOUS LE PEUPLE" - "Terre natale" en français,
réalisé par Ashutosh Gowariker avec Shahrukh Khan et Raja Awasthi. En
savoir plus sur le film
C'est à Nantes et dans ses environs, bien
sûr, que se déroulera la 35e édition
du Festival des 3 Continents, du
19 au 26 novembre. A son tour,
le festival commémorera les cent ans
du cinéma indien? c'est ainsi que la
séance d'ouverture proposera un
film, récent, de 2013, dont on parle
beaucoup depuis quelque temps,
The Lunchbox, de Ritesh Batra,
tandis que la séance de clôture
honorera l'incontournable Satyajit
Ray dont sera projeté le film
Charulata. Les autres films
programmés : 27 Down, d'Awtar
Krishna Kaul, A Peck On The Cheek,
de Mani Ratnam, Bhumika de
Shyam Benegal, Dharavi de
Sudhir Mishra, Fleurs de papier,
de Guru Dutt, Kasba de Kumar
Shahani, L'Etoile cachée, de
Ritwik Gathak, Shree 420 de
Raj Kapoor et Un jour comme les
autres, de Mrinal Sen. A noter :
le mercredi 20 novembre à 20 heures
au Grand T, une soirée spéciale
Dhrupad, avec pour commencer un
concert du chanteur Wasifuddin Dagar,
puis la projection du film
Dhrupad, de Mani Kaul.
Pour plus d'informations, connectez-vous au
site officiel du festival.
L’Association Les Comptoirs de l’Inde présente la 3e
édition du Salon : «L’Inde des
Livres», les 16 et 17 novembre 2013,
sous le haut patronage de
l’Ambassade de l’Inde.
Après le succès des deux premières
éditions en 2011 et 2012, la grande
librairie du salon l’Inde des Livres
et les nombreuses animations «made
in India» reviennent ! Nous vous
donnons rendez-vous à la mairie du
XXème arrondissement les 16 et 17
novembre prochains.
L’Inde des Livres, c’est :
- une librairie de plus de 450
titres et 5000 ouvrages consacrés à
l’Inde (cuisine, médecine,
littérature, cinéma, géopolitique,
religion, histoire, ...) tenue en
partenariat avec la librairie
l'Harmattan.
- plus de 50 auteurs en dédicace
durant les deux jours,
- des rencontres et des débats sur
l’Inde : littérature, histoire,
cinéma, arts, société ... animés par
des conférenciers et des
journalistes spécialistes de l’Inde.
- des ateliers (spectacles de contes
indiens, mandalas) pour la jeunesse.
- des spectacles de musiques, de
chants et de danses indiennes.
- un salon de thé-restaurant pour
découvrir les traditions culinaires
indiennes.
- sans oublier, des expositions de
peintures, de photos sur les Sikh,
des archives et des documents
notamment sur les relations d’amitié
entre la France et le Punjab au
19ème siècle (exposition réalisée
par la Ville de Saint-Tropez).
Kénizé Mourad nous fait l’honneur d’être la marraine de ce
salon, nous recevrons également
Tarun Tejpal , une des figures
majeures de la littérature indienne
contemporaine, grand journaliste,
installé à Delhi, Prix des libraires
2007 pour son roman Loin de
Chandigarh, et Radikha Jha,
auteur à succès de nombreux romans
représentante d’une nouvelle
génération d’écrivains de la
diaspora, entre tradition et
modernité.
Pour ce 3ème salon, nous mettrons en avant l’édition : avec la présence
des éditrices indiennes : V.K
Karthika pour Harpers-Collins India
et Urvashi Butalia pour Zubaan.
Ainsi que des éditeurs français
Philippe Picquier et Marc Parent, et
la traduction : avec quatre
traductrices françaises qui
aborderont le rôle de la
transmission.
Nous rendrons un hommage
particulier à Ravi Shankar :
musicien et compositeur indien,
maître du sitar, à Rabindranath
Tagore, couronné par le prix Nobel
de littérature en 1913. écrivain,
poète, philosophe et humaniste dont
l’œuvre a marqué la littérature
indienne et occidentale à l’aube du
XXème siècle et au centenaire du
cinéma indien avec avant-première du
Salon, le film de Satyajit Ray,
L’Adversaire (projection le
vendredi 15 novembre à 19h à
l’auditorium de la Médiathèque
Marguerite Duras - Paris 20ème).
Le Pavillon carré de Baudoin,
espace culturel de la Mairie du
20ème arrondissement, passe
également à l’heure indienne et
accueillera le samedi 16 novembre à
15h un des temps forts du salon
consacré à la diaspora des indiens
du Punjab de confession sikh en
France : film sur le fondateur du
sikhisme et rencontre-débat sur les
Sikh en France.
Le salon L’Inde des Livres est organisé par l’association
Les Comptoirs de l’Inde, et
bénéficie du soutien de la Ville de
Paris, de la mairie du 20ème, du
Conseil régional d’Ile-de-France, de
la DRAC Ile-de-France (ministère de
la Culture) et de l’Office du
tourisme de l’Inde. L’Inde des
livres est partenaire du festival
EUROPALIA (Bruxelles).
Association Les Comptoirs de l’Inde - 60, rue des Vignoles - 75020
Paris - Tél. 01 46 59 02 12.
comptoirs-inde@wanadoo.fr
-
www.comptoirsinde.org
La
grande romancière indienne Anita
Desai (Un parcours en zigzag,
Poussière de diamant, Jeux
au crépuscule, Un héritage
exorbitant...) voit la
traduction française d'une nouvelle
œuvre paraître au Mercure de
France : L'Art de
l'effacement, originellement
paru en 2011 sous le titre The
Artist of Disappearance.
L'ouvrage regroupe trois nouvelles :
"Le musée des ultimes voyages", "La
traductrice" et la nouvelle éponyme.
Trois beaux textes intemporels,
entraînant le lecteur dans un
univers qui hésite entre réalité et
onirisme, passé et présent, souvenir
et oubli, ordinaire et
extraordinaire... A ne pas manquer
Mercure de
France
Bibliothèque
étrangère
Traduction
se
Jean-Pierre
Aoustin
Nouvelles
12-05-2013
- ISBN :
9782715233157
- 200 pages
- 140 x 205
cm
- 20,5 €.
Les
éditions Zulma nous
préparent une belle surprise pour la
rentrée : la publication d'un roman
de R. Tagore, encore inédit
en France... Kumudini. Kumudini a dix-neuf ans,
la grâce d’être bien née, de goûter
les arts et de prier les dieux. Elle
vit dans la compagnie tendre de son
frère aîné, Vipradas, humaniste fort
accablé par le souci des dettes
insurmontables de la famille.
Jusqu’au jour où un mystérieux
entremetteur vient demander pour son
maître, un riche négociant adoubé
par le pouvoir colonial, la main de
Kumudini. Tout enivrée des légendes
sacrées de Krishna, le dieu à la
peau de nuit, et de sa bien-aimée
Radha, elle y voit un signe du
destin et presse son frère dubitatif
d’accepter le marché. Mais en
unissant sa destinée à celle de
Madhusudan, vieil époux aux désirs
d’ogre qui règne en despote jusque
dans les moindres recoins de sa
vaste maisonnée, Kumudini devient
l’instrument inespéré et malheureux
d’une épouvantable vengeance…
Inédit en France, Kumudini
est un roman qui fascine,
enchante et ne cesse d’interroger.
Ce qui explique cette tardive
découverte (la traduction anglaise
de Kumudini date seulement de
2003), tient sans doute à l’aspect
transgressif d’un roman d’une
merveilleuse fraîcheur. Célèbre et
vieillissant, Tagore, qui pourtant
dans sa propre vie ne s’opposa guère
au poids des traditions, s’y attaque
en effet, avec toute la virulence
d’une fiction inspirée, à la clef de
voûte de la société patriarcale : le
mariage.
C’est l’histoire de deux familles, dans le Bengale du XIXe siècle,
les Ghoshal et les Chatterji. Kumudini, dernière des filles
Chatterji à ne pas être mariée, vit
auprès de son frère aîné Vipradas,
érudit humaniste qui lui aura tout
enseigné : la musique, le sanskrit,
la littérature, les échecs, la
photographie, les arts. Jusqu’au
jour où un entremetteur vient
demander pour son maître, un riche
négociant adoubé par le pouvoir
colonial, la main de Kumudini.
Celle-ci tout enivrée des légendes
sacrées liées à Krishna, le dieu à
la peau de nuit, et à sa bien-aimée
Radha, y voit un signe du destin et
presse son frère dubitatif
d’accepter le marché. Pour Kumu, il
ne peut être qu’un avatar dévoué de
Krishna sur terre. N’est-elle pas
elle-même une déesse, comme ses
serviteurs le lui répètent depuis
l’enfance ? Il y a bien longtemps
que les Chatterji ont oublié le
différend qui les opposait à la
famille Ghoshal, des brahmanes de
moindre noblesse qui durent s’exiler
dans cette guerre impitoyable des
renommées. Mais les humiliés, eux,
n’oublient jamais, même après des
générations. C’est que Madhusudan,
le riche marchand, n’est autre qu’un
rejeton des Ghoshal, vieilli certes,
mais désormais riche, plus que ses
ancêtres bafoués. Ce mariage ne sera
ainsi que l’occasion, longtemps
mûrie, de sa vengeance. Accueillie
dans la famille Ghoshal, où les
riches salons d’apparat cachent mal
les dégradations d’antan, la mariée
découvre son absolu dénuement face
au rustre inculte qui règne sur les
siens. Le désenchantement de Kumu
est à la mesure de ses illusions.
Tout s’effondre en elle et pourtant,
par un renversement de situation
inattendu, Madhusudan tombe
éperdument amoureux de l’objet de sa
vengeance, innocente proie d’une
haine ancestrale : il l’accueille
telle la déesse de la prospérité et
cherchera désespérément à s’en faire
aimer en nouveau riche frappé par
une grâce qui lui échappe.
Avec ses figures tutélaires chues du panthéon hindouiste, ses
personnages hauts en couleur, ses
serviteurs évoquant par leurs
mimodrames Molière ou Beaumarchais,
ce beau roman d’une initiation
tragiquement contrariée met en scène
cet événement suprême, quasi sacral,
qu’est le mariage dans les hautes
castes indiennes. Tagore y démonte
les hypocrisies et les mensonges,
toute cette discipline d’inféodation
de la femme kidnappée au sortir de
l’enfance. Mais on n’échappe pas à
des millénaires de civilisation et
Tagore lui-même, dans sa jeunesse en
adoration d’une belle-sœur qui se
suicidera, aura été chercher cette
histoire au vif d’une thématique
universelle, celle de la tentation
de l’inceste entre âmes sœurs.
Il faudrait, pour restituer toute l’ampleur dramatique de ce roman
qui renfloue un monde à travers le
beau visage de Kumudini, raconter
l’histoire nouée des traditions et
des mœurs, du contexte colonial où
la société indienne, plus forte que
le joug du Raj, fomentait son
émancipation par les voies de
l’économie, des revendications
sociales et de sa culture
immémoriale. Ce bel inédit et
l’œuvre entière de Rabindranah
Tagore, prix Nobel en 1913, ne
cesseront de garder l’âme et le
coeur de cette Inde multiforme,
secrète, et d’une universalité qui
traverse et revivifie les
millénaires comme l’instant présent
de notre lecture.
Kumudini -
RABINDRANATH TAGORE
Roman traduit du bengali (Inde) par
France Bhattacharya
En librairie le 3 octobre 2013
ISBN 978-2-84304-659-9
400 pages
22 €.
Le Forum des Images proposela 5e
édition de son festival Un état du monde... et du cinéma,
programmé du 8 au 17 novembre 2013. Dans le cadre de ce festival, sera
présenté un focus sur le cinéma indépendant indien.
LE FESTIVAL
Questionner l’état du monde par le prisme du cinéma. C’est l’objet de ce
festival qui présente, sous le regard croisé de cinéastes et de personnalités de
tous pays, des œuvres récentes sur des questions politiques, sociales,
économiques, culturelles… Cette 5e édition est placée sous le double parrainage
du réalisateur chinois Jia Zhang-ke et du journaliste géopolitique Bernard
Guetta.
LE CINÉMA
INDÉPENDANT INDIEN L’Inde s’est davantage laissée appréhender par le biais du cinéma de
Bollywood. Pourtant, un autre regard existe, depuis toujours, celui des
cinéastes indépendants au plus près de la réalité de la société indienne.
Distribués au compte-gouttes, ces auteurs nous apportent des visions multiples
de l’Inde. Dans le cadre du centenaire du cinéma indien, le festival propose une
sélection de ces films peu connus ainsi qu’une rencontre entre trois
représentants de ces courants, tournant chacun dans des langues différentes. 11 FILMS INDIENS I.D. de Kamal K.M, samedi 9 novembre à 17h30 et vendredi 15
novembre à 18h (séance présentée par Alexandra Quien, anthropologue et
photographe, spécialiste de l’Inde). Maudite pluie de Satish Manwar, dimanche 10 novembre à 14h30 et
mercredi 13 novembre à 18h30. Autumn d'Aamir Bashir, dimanche 10 novembre à 21h30 et mardi 12
novembre à 14h30. Le Bateaude Thésée d'Anand Gandhi, mardi 12
novembre à 20h30 et jeudi 14 novembre à 14h30. Un monde sans femmes de Manish Jha, mercredi 13 novembre à 16h30. My brotherNikhil d'Onir, jeudi 14 novembre à 20h30
(séance présentée par le réalisateur). L'Affaire 18/9 de Balaji Sakhivel, vendredi15 novembre à 19h30
(séance présentée par Némésis Srour et Hélène Kessous, directrices artistiques
du festival du film d’Asie du sud transgressif). I Am d'Onir, samedi16 novembre à 15h30 (séance présentée par le
réalisateur). Le Puits d'Umesh Kulkarni, samedi 16 novembre à 21h (séance
présentée par le réalisateur). Mr and Ms Iyer dAparna Sen, dimanche 17 novembre à 16h (séance
présentée par la réalisatrice).
Film de clôture en avant-première : The Lunch Box de Ritesh Batra,
dimanche 17 novembre à 20h (avant-première présentée par le réalisateur). "Les Enjeux du cinéma indépendant indien" : table ronde animée par
Amandine d'Azevedo (chargée de cours à Paris III, spécialiste du cinéma indien).
Avec Aparna Sen, Umesh Kulkarni, Onir (réalisateurs) et Hubert Niogret (critique
et réalisateur).
TARIFS À la séance 6 € Tarif plein
5 € Tarif réduit (moins de 25 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, plus de 60
ans)
Carte Forum Festival : 15 € tarif unique (accès libre à toutes les séances du festival , valable uniquement du 8 au
17 novembre 2013)
Plus d'infos : http://bit.ly/Fdi-UEDM
http://bit.ly/Prog-UEDM.
Forum des images
Porte Saint-Eustache - Forum des Halles
75001 PARIS
01 44 76 62 30.
L'Auditorium Guimet à Paris présente, les
vendredi 15 et
samedi 16 novembre à 20h30,
Chidambaram Dance
Company -
Anubhuti,
danse
Bharatanatyam.
Direction et
chorégraphie : Chitra Visweswaran
avec les danseurs :
Sharmada Visgwanath, Arupa Lahiry,
Sai Santosh Radhakrishnan, Jai
Quehaeni Reddy, Gayathri Rajaji et
Divya Shruti
et leurs musiciens :
Sukanya Ravindar (nattuvangam), G.
Srikanth (chant), K.
Venkatasubramanian (mridangam) et R.
Thiagarajan (flûte)
Danseuse et
chorégraphe, Smt. Chitra Visweswaran
est considérée aujourd’hui comme une
véritable légende vivante dans le
domaine de la danse indienne. Sa
maîtrise de la danse, sa soif de
recherche, sa curiosité, font de
Chitra une interprète
particulièrement émouvante,
exigeante en technique, intuitive,
avec une grande profondeur de
vision.
Ses créations et
productions ont marqué et inspiré
une génération tout entière.
Professeur, elle a
formé les plus grands danseurs des
quatre dernières décennies.
C’est en effet en
1975 qu’avec son mari Pt. Sri R.
Visweswaran, chanteur, musicien et
compositeur, elle a créé
la Chidambaram Academy
of Performing Arts à Chennai, une
école qu’elle dirige encore
aujourd’hui.
La Chidambaram
Academy
a formé quatre générations de
danseurs, professeurs, musiciens,
chorégraphes et chercheurs, dont
plusieurs se sont imposés à travers
le monde. De nombreux étudiants ont
reçu des bourses du Gouvernement
indien. D’autres anciens élèves ont
aujourd’hui établi eux-mêmes leurs
propres compagnies ou écoles, afin
de transmettre le style et le
travail de
la Chidambaram Academy
tant en Inde qu’à l’étranger.
L’enseignement de
cette école est un enseignement
complet et exigeant (danse, musique,
nattuvangam, théorie, décor,
théâtre, méthodologie, éclairage,
philosophie du mouvement…), reconnu
comme un cursus de l’Indira Gandhi
National Open University.
La Chidambaram Dance
Company,
issue de l’académie, est composée de
jeunes professeurs et de danseurs
professionnels, dirigés par Smt
Chitra Visweswaran.
La compagnie a
présenté ses créations
chorégraphiques (danse et théâtre)
dans les plus prestigieux festivals
de l’Inde et dans le monde entier.
Chitra Visweswaran a
reçu plusieurs récompenses en Inde,
dont le Padma Shri en 1992, le
Sangeet Natak Akademi Award en 1987,
le Tamil Nadu State award –
Kalaimamani en 1983, le
Nrityachoodamani en 1980 ainsi que
plusieurs récompenses à l’étranger
dont l’award for exemplary
contribution to Indian Culture
décerné par
la Japan Foundation.
Smt. Chitra
Visweswaran est actuellement la
présidente de l’Association des
Artistes de Bharatanatyam d’Inde (ABHAI).
Un évènement !
En partenariat avec
Triveni
Prix des places : 17 et 12 €
Renseignements, réservations :
auditorium@guimet.fr
ou 01 40 73 88 18
Les éditions Actes Sud publient un nouvel
ouvrage de la romancière indienne
Anuradha Roy, après Un Atlas
de l'impossible.
Histoire d’un impossible deuil,
réflexion sur la solitude, sur les
contraintes familiales et sociales
pesant sur une jeune veuve, Les Plis de la terre rend hommage à une humanité aussi
divisée que solidaire et à une
région du monde longtemps épargnée
progressivement altérée par les
bouleversements politiques, sociaux,
écologiques qui affectent le reste
de la planète.
Actes Sud
Littérature
Lettres
indiennes
Octobre,
2013
/ 11,5 x
21,7 / 400
pages
Traduit de
l'anglais
(Inde) par :
Myriam
BELLEHIGUE
ISBN
978-2-330-02445-1
prix
indicatif :
23,50€
L’association Enfants des Rues de Pondichéry
présente son gala annuel, au profit
des enfants de l’orphelinat Vudhavi
Karangal de Pondichéry, à Paris,
au Forum 104, 104 rue de Vaugirard
dans le 6ème, le samedi 16
novembre à 19h30.
Au programme, musiques de l’Inde,
danse Odissi et repas indien.
Les musiciens : Kengo Saito (Rubab Afghan) et Prabhu Edouard (Kanjira).
Ils font partie du programme
artistique du Musée Guimet !
La danseuse Odissi : Srinwanti
Chakrabarti. Srinwanti est très
connue en Inde bien sûr, mais aussi
dans plusieurs pays dont la France.
Actuellement elle se produit aux
U.S.A.
Cette année l’association propose
également une exposition
photographique : Hervé Durant expose
au Forum 104 une trentaine d'œuvres,
pendant tout le mois de novembre. Il
s'agit de photos des enfants de
l’orphelinat Vudhavi Karangal.
Tarif normal: Spectacle 22€, Dîner 25€, les deux 44€
Tarif réduit (Étudiants et moins de
18 ans): Spectacle 14€, Dîner 20€,
les deux 30€
Gratuit pour les moins de 12 ans.
Réservations auprès de Michelle
Auffret
16, Villa Saint-Michel 75018 Paris
Tel : 06 81 83 65 38
michelleauffret47@orange.fr.
La
commune de Saint-André, à la
Réunion, cette année encore ne fera
pas mentir sa réputation de capitale
malbar, avec les grandes festivités
du Dipavali, la Fête hindoue
des Lumières. Déjà la 24e édition,
du 3 au 11 novembre ! Le
programme est toujours alléchant :
nombreux spectacles, gastronomie,
méla, conférences, expositions... et
bien évidemment le grand défilé, le
dimanche 10 novembre? Se défilé sera
prolongé par un grand spectacle de
théâtre et danse, inspiré du
Râmâyana, par le chorégraphe
indien P. T. Narendran.
Retrouvez l'intégralité du programme sur notre site ami,
Indes réunionnaises.
La Salle Guy Alphonsine, quant à elle, proposera un festival de
cinéma (avec notamment des films
tels que Water, The
Lunchbox, My Name Is Khan
ou L'Allumette) ainsi
qu'un spectacle de danse Odissi.
Découvrez le programme
ici.
Les
Côtes d'Armor portent l'Inde à
l'honneur en novembre 2013.
Invité d'honneur : Augustin Brutus
Jaykumar. Né à Pondichéry, baigné
par une double culture, il fait ses
études en France puis retourne
travailler en Inde. Augustin œuvre à
travers le monde pour le
développement et l'accès à
l'éducation des plus démunis,
notamment par le biais de l'ONG
Intercultural Network for
Development and Peace (INDP) qu'il a
fondé. > St-Brieuc
- Villa Rohannec'h
1 au 10 : Exposition de Debesh
Goswami
Plasticien indien. Ses photos et
installations à base de fleurs
cachent des oeuvres ou monuments
locaux, réalisant une alliance
subtile entre Inde et Occident.
Livres sur l'Inde par la BCA, à
consulter sur place.
Sam. 2/11 à 17h : Lancement de
Fenêtres sur l'Inde
Des musiciens joueront des airs
traditionnels.
Dim. 3/11 à 15h : Aller-retour,
comment le voyage nous interpelle
Avec Augustin Brutus, autour de 4
thèmes : identité, spiritualité,
dignité et retour.
Photos de Maud Hainry, auteure de
Portraits Indiens, et de Manish
Mansinh, photographe et graphiste
indien.
Mer. 6/11, 8h30-10h : Petit déjeuner
de l'Economie Sociale et Solidaire
Des valeurs à l'action, ou comment
ne pas se perdre en chemin ?
Par Rich'ESS, en présence d'Augustin
Brutus. Comment partir d'idées et de
valeurs pour développer des projets
concrets qui gardent leur sens
malgré les contraintes de
l'environnement ? Sur inscription 02
96 52 19 69
Mer. 6/11 : Ateliers par la Cie de
l'École de l'Art Rue
14h : Marionnettes : durée 1h, à
partir de 7 ans.
15h30 : Contes : accompagnées de
musiques traditionnelles. Durée 1h.
Tout public.
Ven. 8/11 à 16h : Rencontre : La
littérature indienne et la condition
des femmes
Avec Augustin Brutus et la Maison
des femmes. Lectures et échanges
autour de livres de l'ONG
Intercultural Network for
Development and Peace.
Sam. 9/11 à 14h : Ateliers Henné et
rangoli
Par l'association Tillana. Le
rangoli est une peinture faite sur
les seuils des maisons ou temples.
Sur inscription 02 96 68 38 74
Dim. 10/11 à 15h : Histoire(s), par
la Cie de l'École de l'Art Rue
15h - Contes des sages de l'Inde,
recueil de Martine Quentric Séguy,
avec musiques traditionnelles.
Durée 1h. Tout public.
16h30 - Une malle aux trésors
indienne : saris et costumes,
matériel à pujas, poudre à kollams,
calligraphie tamoule, journaux,
musique et films tamouls. Durée 1h.
Tout public.
- RESIA
Mer. 6/11, 10h-16h30 :
Formation-échange : Le micro-crédit
Par Augustin Brutus. Présentation
des projets de micro-crédits.
Résultats et problèmes rencontrés
par les associations des Côtes
d'Armor. Sur inscription 02 96 61 22
33
- La Citrouille
Dim. 10/11 à 17h : Concert de
Nirmãan
Indian Electric Station. Des
artistes bretons (Dièse 3 et le
musicien voyageur Gee M) croisent
leur musique avec celle d'une jeune
chanteuse de musique traditionnelle
indienne originaire du Rajasthan,
Parveen Sabrina Khan. > Callac
Dim. 10/11 : Cinéma, Atelier,
Musique, Dégustation
9h30-12h : Arts indiens, par
l'association Tillana. Henné, chant,
musique et danse, dégustation
culinaire.
14h30 : The Dirty Picture, film de
Milan Luthria (2h20). Au début des
années 80, Reshma s'enfuit de son
village pour rejoindre Madras, où
elle rêve de devenir star de cinéma
(Cinéma La Belle Équipe). > Dinan
Ven. 8/11 : Échanges : L'ESS et
l'égalité femme-homme
Avec Augustin Brutus. Matin :
projets locaux et indiens dans le
cadre de l'Économie Sociale et
Solidaire (Espace Steredenn, 1 route
de Dinard).
Après-midi : l'égalité homme/femme
(Maison du Département, 7 rue
Victor-Schoelcher). Inscriptions 06
85 59 51 76 > Lannion
Sam. 9/11, 9h30-13h30 : Master class
avec Nirmãan et Drom
Tarif : 30 €. Inscription
obligatoire
nathalie.miel@drom-kba.eu
21h au Pixie : Concert de Nirmãan
Voir à St-Brieuc La Citrouille
ci-dessus. > Loudéac
Dim. 3/11, 10h-18h : Cinéma,
Atelier, Musique, Dégustation
Art indien, par l'association
Tillana. Projection du film The
Dirty Picture (Cinéma Quai des
Images).
Voir à Callac ci-dessus. > St-Laurent-de-Bégard
Sam. 9/11, 15h-21h, Le Palacret :
Atelier culinaire, Repas débat
15h-18h : Préparation d'un menu
indien, avec 2 indiennes.
5 €, limité à 12 participants.
19h-21h : Le développement durable
et solidaire
Avec d'Augustin Brutus. Autour du
repas, échanges sur le développement
durable et solidaire, les enjeux et
visions propres à chaque culture.
5 €, gratuit pour les participants à
l'atelier culinaire > Trégueux
Sam. 9/11 à 9h, La Gambille :
Atelier de découvertes culinaires
Avec Shipra Gosh, cuisinière
indienne. Sur inscription 02 96 75
72 85 > Tréguier
Mer. 6/11 à 20h30, Théâtre de
l'Arche - Cinéma
Rencontre avec de Vénérés Saints
Hommes, film de Christie Dessales. À
l'occasion du pèlerinage de la
Kumbha Mela, tous les Saints Hommes
de l'Inde, Swamis, Sadhus, Yogis,
Ascètes, se rassemblent.
Communiqué de Natyamandir :
C'est avec une grande joie
que nous vous annonçons
notre prochain évènement,
un weekend exceptionnel du 8
au 11 novembre autour
des danses indiennes Kathak
et Odissi, avec la venue
pour l'occasion de deux
danseurs professionnels
indiens !
Deux ans après sa dernière venue
en France, nous recevrons à
nouveau Lingaraj Pradhan,
danseur odissi dont la danse
frise l'excellence, mais
également Hari Noopur,
danseur kathak accompli basé à
Bangalore ! Nous les avons rassemblés pour
vous au sein d'un spectacle
unique en son genre, suivit de 3
jours de master-class intensifs,
pour un weekend qui promet
d'être inoubliable ! Cet évènement vous est proposé
par Natyamandir en collaboration
avec Sally, élève de Hari Noopur
basée à Nîmes.
Programme du weekend : - Vendredi 8 novembre à 20h15
-
"THARANG" Soirée spectacle Kathak et
Odissi par Lingaraj Pradhan et
Hari Noopur. La charme et la puissance de l’odissi,
l’élégance et l’énergie du
kathak… deux virtuoses des
danses de l’Inde partageront la
scène pour notre plus grand
plaisir !Le spectacle
sera suivi d’un échange avec les
artistes. au Centre André Malraux à
Castelnau-le-lez à 5 min de
Montpellier (tram 2 La Galine,
parking) Entrée en prévente 15,90 et TR
10,90 – sur place : 18 et TR 13
euros Réservez en renvoyant le
bulletin de réservation ci-joint
ou avec la billetterie en ligne: https://www.onydanse.com/spectacle/danse/1109/tharang-danses-indiennes-odissi-et-kathak Attention, n'attendez pas
pour réserver vos places, le
théâtre n'est pas immense et
notre dernier spectacle en
janvier y avait affiché complet!
- Du Samedi 9 novembre au lundi
11 novembre Master-classes de Kathak et
Odissi Master-class Odissi de 3
jours avec Lingaraj Pradhan: Samedi 9 et Dimanche 10: de 9h30
à 12h30 et de 14h à 15h30 Lundi 11: 9h30-12h30 et
14h30-16h30 Master-class de Kathak de
2 jours avec Hari Noopur Samedi et Dimanche: de 16h à 19h Soit environ 6h de stage
kathak et 14h de stage odissi
avec des maitres du genre! Stage tous niveaux intensifs
(une première pratique de
l'odissi est souhaitée pour le
stage avec Lingaraj Pradhan):
travail technique et expressif,
éléments chorégraphiques. Les
danseurs nous feront partager
leur passion, leur talent et
leur expérience de ces
différents styles...
Tarifs des stages : Stage Odissi :
inscription avant le 20 octobre
– 175 euros / après le 20
octobre : 190 euros / tarif
réduit (bourse de stage limitée
à 5 places par stage) 155 euros Stage Kathak :
inscription avant le 20 octobre
– 85 euros / après le 20 octobre
: 95 euros / tarif réduit
(bourse de stage limitée à 5
places par stage) 75 euros Stage Odissi + Kathak :
inscription avant le 20 octobre
250 euros / après le 20 octobre
280 euros / tarif réduit (bourse
de stage limitée à 5 places par
stage) 220 euros Les bourses de stage (5
places seulement au tarif réduit
sont disponibles par stage) sont
réservées aux personnes au
faible revenus, étudiants etc.
Elles ont pour but de permettre
à tout passionné de participer à
l'évènement! Contactez-nous pour
en bénéficier. Le bulletin d'inscription est en
pièce jointe. Possibilité de
paiement échelonné,
contactez-nous pour des pistes
au niveau de votre hébergement,
mise en relation avec d'autres
stagiaires etc !
A propos des artistes: - Lingaraj Pradhan Lingaraj Pradhan est un jeune et
énergétique danseur dévoué à
l’art de l’Odissi dont la danse
sculpturale et le visage radieux
laissent le spectateur conquis.
Formé depuis l’âge de 15 ans par
Guru Bichitrananda Swain, sous
la guidance de Guru Gangadhar
Pradhan, il a eu l’honneur de se
produire sur de nombreuses
scènes indiennes et étrangères
en solo et en tant que danseur
principal de la compagnie
Rudraksha. Lingaraj Pradhan
détient un master en danse de
l’université de Bhubaneshwar, a
reçu la bourse du gouvernement
indien et a été honoré du "USTAD
BISMILLAH KHAN YUVA PURASKAR »
en 2009. Partageant son temps
entre spectacles et
enseignement, et souhaitant
inspirer la jeune génération par
la puissance transcendante de la
danse, il est considéré comme
l’une des étoiles de la danse
Odissi actuelle. Lingaraj Pradhan et la
Rudrakshya Foundation:
http://www.youtube.com/watch?v=f8LBuvo8w-o Lingaraj Pradhan - solo:
http://www.youtube.com/watch?v=kcBluWXflfc - Hari Noopur: Artiste mêlant virtuosité
technique, créativité et rigueur
classique, Hari Noopur considère
ses maitres comme la plus grande
bénédiction de sa vie. Il a été
formé au kathak par Guru
Geethanjali Lal, Bharati Vittal,
Vaibhavi Joshipura et finalement
par Smt Kumudini Lakhia. Diplomé
du Natya Institute of Kathak and
Choreography et danseur certifié
par le ministère de la culture
indienne, il forme avec sa femme
Chethna un vibrant et inspirant
duo. Ensemble, ils ont parcouru
les scènes du monde entier et
fondé en 2006 « Noopour
Performing Arts Center », l’un
des principaux institut de
kathak de Bangalore. Duo avec sa femme la
danseuse Chethna: http://www.youtube.com/watch?v=umWIkqfOsh4&list=UUmQxklvvzHP4qIWERrbLaWg Avec Noopur Performing
Arts Center: http://www.youtube.com/watch?v=OuymaiJwMGg&list=UUmQxklvvzHP4qIWERrbLaWg
Réserver vos
places sans attendre et
ne manquez pas la chance
d'admirer et de
pratiquer la danse
indienne à son plus haut
niveau !
Le
photographe Joël Cadiou et
l'artiste peintre Nadine Le
Prince associent leurs talents
pour une exposition à quatre mains,
du 25 au 27 octobre à
l'Espace Cardin à Paris.
L'exposition, sobrement intitulée
Lumières indiennes, est présentée à
l'occasion de la Fête des Lumières,
le Dipavali (Diwali) 2013.
Salon d'art Contemporain Business Art, 1/3 avenue Gabriel, 75008
Paris. Stand n°8.
Ce 412e numéro
(septembre-octobre 2013) de
Nouvelles de l'Inde met à
l'honneur l'état du Punjab, auquel
est consacré un important dossier,
évoquant tour à tour les réalités
économiques, le tourisme,
l'artisanat, la littérature et même
la cuisine locale. La rubrique santé
se penche une nouvelle fois sur
l'inépuisable sujet qu'est
l'Ayurveda, tandis qu'à la rubrique
littéraire, on retrouvera notamment
un gros plan sur le grand livre
tamoul de morale qu'est le
Tirukkural. Dans le domaine
culturel, notons d'intéressants
articles consacrés à l'artiste
peintre Sujata Bajaj, à l'exposition
Vernacular India, ou encore à
la perception du cinéma indien en
France et en Europe.
Les éditions Marmaille et Compagnie proposent un livre
illustré, Rishima, reine de Bollywood... signé par Natalie
Zimmermann pour le texte et Cat Zaza pour les illustrations.
Rishima est une éléphante. Seulement voilà, Rishima est blanche et toute petite ! Prédestinée par sa famille à devenir une déesse hindoue, tout ce qui l'intéresse, elle, c'est de danser et d'être couronnée reine de Bollywood !
Eté indien - 10e édition CENT ANS DE
CINEMA INDIEN (1913-2013) Du 9 septembre
au 30 octobre 2013
30 films dont 21 inédits
Séances spéciales les samedis,
spectacles
Invité d'honneur : Shyam Benegal
La dixième
édition de l'Eté indien, placée sous
le Haut Patronage de l'Ambassade de
l'Inde à Paris, célèbre en 2013 le
centenaire du premier film indien,
un film mythologique du « père du
cinéma indien » Dadasaheb Phalke
(1870-1944), Raja Harishchandra
qui sort en 1913 sur les écrans
de Bombay et passionne le public
indien.
Cette édition
sera l'occasion de présenter les 16
minutes sauvegardées et restaurées
de ce tout premier film, ainsi que
des films muets rares, le premier
film parlant-chantant présenté dans
un festival international (Venise en
1937), de nombreux fleurons du
cinéma populaire ayant marqué
l'histoire du cinéma indien tels qu'Awaara,
Mother India ou Mughal-e-Azam,
des films de grands réalisateurs
illustrant un cinéma d'auteur
pertinent et remarquable, tels que
Satyajit Ray, Ritwik Ghatak, Mrinal
Sen, Guru Dutt, Adoor Gopalakrishnan,
Aparna Sen, mais aussi des films de
réalisateurs abordant une nouvelle
approche populaire, comme Ashutosh
Gowariker, Sanjay Leela Bhansali ou
Aamir Khan...
Au total, une
immersion dans l'histoire du cinéma
indien en 30 films dont 21 inédits,
en hindi, urdu, bengali, marathi,
malayalam et tamoul, avec pour la
première fois cette année des
séances le samedi.
Un hommage particulier sera rendu à
l'invité d'honneur Shyam Benegal,
cinéaste à l'œuvre éclectique et
incroyablement riche de plus de
soixante-dix œuvres, qui viendra
présenter plusieurs de ses films.
Une conférence ainsi que des
spectacles de musique et de danse
complèteront cette dixième édition.
Après notamment le festival
Saison Indienne à Toulouse ou la 10ème
édition de l'Eté Indien à l'Auditorium
Guimet, les cent ans du cinéma indien vont
de nouveau être célébrés, par un nouveau
festival parisien : Extravagant India.
La manifestation se déroulera du 15 au 22
octobre et proposera une quarantaine de
films, dont certains en compétition.
retrouvez tous les détails sur le
site officiel.
En 1896, six mois après leur première
projection à Paris dans le “salon indien” de lʼhôtel Scribe, les frères Lumière envoient
leurs opérateurs à travers le monde. Parmi
eux, Maurice Sestier qui doit aller en
Australie. En escale à Bombay, il est
hébergé à lʼHôtel Watson. Il y organise la
première projection du cinématographe des
frères Lumière en Inde. Elle a lieu le 7
juillet 1896. Au cours de cette séance, sont
diffusés 6 courts métrages dont les
célébrissimes Arrivée du train en gare de
la Ciotat et La sortie de lʼusine.
Le Times of India qualifie cette invention
de « merveille du siècle ». Le Cinéma vient
de naitre en Inde.
En 1912, Dadasaheb Phalke, que lʼon
considère comme le père du cinéma indien,
tourne le premier film de fiction, Raja
Harishandra , un épisode du
Mahâbhârata qui est présenté à la presse
et à quelques invités le 21 avril 1913. Le
film, que son réalisateur emporte lui-même
de village en village, connaît un énorme
succès.
Dès 1930, la production annuelle dépasse
200 films par an pour arriver à plus de 1600
films en 2012 diffusés dans 13 000 salles.
Satyajit Ray qui reçut un Oscar pour sa
carrière en 1995, est considéré comme lʼun
des plus grands cinéastes de tous les temps.
Quelques grands films indiens tels Lagan
ou Devdas ont fait le tour du monde.
Isabelle Adjani vient de tourner ISHQK
in Paris, réalisé par Prem Raj, un film
bollywood. En octobre 2012, la France
remettait les insignes de Chevalier dans
lʼOrdre des Arts et des Lettres à lʼactrice
indienne Aishwarya Rai Bachchan et à Kirane
Grover Gupta, restauratrice et écrivain.
Bertrand Tavernier vient de recevoir une
distinction pour lʼensemble de son œuvre
lors de la 42ème édition du Festival
International du Film de Goa, le plus grand
festival de films de lʼInde. En 2014/15, lʼInde ouvrira un prestigieux centre culturel
indien à Paris dans le quartier des
Invalides.
Lʼancêtre de la BNP ouvrait sa première
filiale en Inde au 19ème siècle à Calcutta.
Dans les années 20 et 30, Citroën et
Michelin étaient bien implantés, sans parler
de lʼinstitut Pasteur dont le nom était
familier en Inde. Dans les années 50 à 90 la
présence française en Inde disparut
pratiquement. En 1987, sʼest créée à Paris,
la Chambre de Commerce et dʼIndustrie Franc-
Indienne.
Entre 2008 et 2012 la France comptait
plus de 10Mds Euros dʼinvestissements
français en Inde, très présente dans
lʼaéronautique, lʼespace, la téléphonie, les
cartes à puces, la technologie biométrique,
la téléphonie mobile, les équipements
électriques adaptés à la lutte contre le
changement climatique, le nucléaire.
Aujourd’hui Saint-Gobain, Lafarge, Michelin,
Alsthom, Alcatel, Bio-Mérieux et lʼOréal
sont bien implantés. Malgré cela, 100 ans
après lʼexpérience indienne de Maurice
Sestier, lʼInde pour la majorité des
Français reste encore une inconnue. Cette
république immense, aussi vaste que
lʼensemble de lʼEurope est pourtant en passe
de devenir lʼune des premières puissances
économiques mondiales. Il est temps de la
découvrir. La présence française en Inde
malgré les chiffres cités reste dérisoire et
on ne compte quʼune cinquantaine
dʼentreprises indiennes importantes en
France.
Quelle est cette société ? Comment
est-elle composée ? Quelles sont les
croyances, les aspirations, les valeurs des
multiples populations qui existent en Inde ?
Que pensent les indiens des changements au
sein de leurs collectivités et de leur vie
individuelle ? Les arts dʼune façon générale
et le cinéma en particulier sont des moyens
de rencontre et de communication
privilégiés. Mieux connaître nos
civilisations respectives, permettra de
poser des jalons solides pour des relations
culturelles et socio-économiques saines, des
accords artistiques et commerciaux de longue
durée.
Il est urgent que la France et lʼInde
aillent à la rencontre lʼune de lʼautre et
non seulement au niveau gouvernemental. Dans
cet espace de liberté de paroles que sera le
festival “Extravagant India !”, nous
pourrons ensemble enrichir nos échanges et
comprendre plus profondément, plus
spirituellement lʼâme de nos peuples.
Pourquoi un festival de films indiens ?
Pour aller vers une sensibilité Vers une culture, une société.
Saluée par les critiques comme une
interprète particulièrement
inspirée, éblouissante et
fascinante, Dr Janaki Rangarajan,
digne disciple de Smt Madhavi
Chandrasekhar puis de Dr Padma
Subrahmanyam, s’impose aujourd’hui
comme l’une des nouvelles étoiles du
bharatanatyam. …
Depuis l'âge de quatre ans, Janaki
communique sa passion brûlante pour
la danse, à travers un style unique
et novateur, explorant de nouvelles
directions dans la maîtrise de la
tradition.
Réputée pour sa précision dans le
nritta (le rythme), sa
flexibilité remarquable et son
gracieux et convaincant abhinaya
(l’expression), ses performances
sont empreintes d’une profondeur et
d’une sensualité rarement égalées.
Acclamée par le public et décrite
par les médias comme une «
interprète exceptionnelle », « l’une
des meilleures aujourd'hui », «
étourdissante », « envoûtante », «
d’une maîtrise et perfection
incontestables » …, Janaki se
produit désormais dans le monde
entier.
Danseuse accomplie, Janaki est une
aussi une merveilleuse chorégraphe.
Sanjeev et Ashwani Shankar (shehnai),
Anand Shankar (tabla)
Bien que son nom vienne du persan et
qu'il puisse être comparé à d'autres
instruments du Moyen-Orient comme la
zurna, le
shehnai est un
instrument typiquement indien. Si
l'on scinde son nom en deux, on
obtient les mots « sheh » - ou
« shah » - qui signifie « roi », et
« na », qui signifie « flûte » ; cet
instrument peut donc être considéré
comme « le roi des flûtes » ou « la
flûte des rois »...
Le shehnai existe au moins depuis
l'époque védique puisque l'on peut
trouver des descriptions de cet
instrument dans presque tous les
textes indiens anciens, y compris
les premiers Vedas, et qu'il est
représenté dans les grottes d'Ajanta
et Ellora et sur les sculptures et
les poteries antiques.
Les deux frères Sanjeev et Ashwani
Shankar viennent d’une famille de
musiciens de la gharana
(école traditionnelle) de Bénarès,
dans laquelle l’art du shehnai se
transmet de génération en génération
depuis plus de 450 ans. Ils ont
développé leurs dons musicaux dès
l’âge de sept et cinq ans
respectivement, grâce à
l’enseignement de leur père,
Pandit Daya Shankar,
et de leur grand-père,
Pandit Anant Lal,
musiciens de renommée
internationale.
Après avoir acquis durant leur
formation la maîtrise desrāgas
(modes) et des
tālas (cycles
rythmiques), ils ont chacun
reçu une bourse du Ministère de
la Culture du
gouvernement indien.
Depuis, les Shankar jouent
régulièrement en Inde et à
l’étranger, souvent accompagnés de
leur frère Anand Shankar au tabla.
Ils ont également bénéficié de
l’enseignement du légendaire
Pandit Ravi Shankar, que Sanjeev a accompagné en
tournée aux États-Unis et en Europe
de 2005 jusqu'à sa disparition en
2012. Ils ont reçu en 2009 le prix
Bismallah Khan décerné par la
prestigieuse Sangeet Natak Akademi.
Ils collaborent aussi régulièrement
avec des artistes indiens ou
étrangers comme Anoushka Shankar ou
le musicien français Titi
Robin. Rare et incontournable.
Prix des places : 17 et 12 €Renseignements, réservations :
auditorium@guimet.fr ou 01 40 73
88 18
Vendredi 18 octobre 2013 à 20h30 et
samedi 19 octobre 2013 à 20h30
Vaibhav Arekar et Anuya Rane
et leurs musiciens
Danse bharatanatyam - Ranga Nritya
(Inde du sud)
« Je danse… pour ressentir la
sensualité du mouvement… pour
atteindre le paroxysme de la transe,
où la conscience m’échappe, où je ne
sais plus si c’est moi qui danse ou
si c’est la danse qui déplace mon
corps. »
« Le voyage sur des chemins
inexplorés donne un sens à la vie. »
Vaibhav Arekar appartient à cette
nouvelle génération de danseurs,
pour lesquels l’art et la vie n’ont
de sens que s’ils sont dédiés à une
indomptable volonté de promouvoir,
produire et faire des danses
classiques indiennes un art
contemporain à part entière.
Chorégraphe, danseur, enseignant,
producteur et administrateur,
Vaibhav a reçu les enseignements
fondamentaux du bharatanatyam auprès
de Smt Saroja Srinath, puis de Smt
Tangamani Nagarajan au Centre de
danse Nalanda Nritya Kala
Mahavidyalaya, affilié à
l’Université de Mumbai, et créé par
le Dr. Kanak Rele. C’est auprès de
ce dernier qu'il a perfectionné tant
l’abhinaya (l’expression) que
les techniques virtuoses qui le
caractérisent. Il a ensuite
poursuivi ses recherches sur le
kathak auprès de Smt Rajashree
Shirke, puis sa danse s’est affirmée
et rapidement enrichie d’une intense
formation théâtrale sous la houlette
de Shri Chetan Datar.
Co-directeur de l’institut Lasya,
puis directeur du Nalanda Nritya
Kala Mahavidyalaya, il a créé sa
propre compagnie de danse Sankhya
Dance Creations.
Née et élevée à Mumbai, Anuya Rane a
commencé l’apprentissage du
bharatanatyam lorsqu’elle était
enfant. Ayant décidé de faire de la
danse sa carrière, elle a poursuivi
ses études dans ce style auprès de
l’Institut Nalanda Nrityakala
Mahavidyalaya, où Vaibhav Arekar fut
l’un de ses enseignants.
Elle a obtenu une
licence et un master spécialisés en
bharatanatyam, de l'Université de
Mumbai.
Elle enseigne la
danse depuis les années
universitaires et se produit en Inde
et en Europe.
Par la fructueuse collaboration de
Rajashree Shirke et Chetan Datar
avec Vaibhav, s’est développé le
genre Ranga Nritya (théâtre –
danse), générant de nouvelles
chorégraphies dans une parfaite
symbiose du verbe, de la musique et
du corps en mouvement.
Sankhya Dance Creations réunit de
jeunes danseurs et chorégraphes, qui
promeuvent la danse traditionnelle
aussi bien que la danse
contemporaine.
En cette
rentrée 2013, les éditions Le Lombard nous
gâtent avec deux albums aux parfums de
l'Inde...
Tout d'abord - il était attendu - le quatrième volume de la saga Rani. Ce tome 4 s'intitule Maîtresse
et nous fait bien sûr connaître la suite des
aventures de Jolanne, en Inde... Condamnée
pour un crime qu'elle n'a pas commis, Jolanne
est expédiée aux Indes. Devenue Jeanne
Dubois, elle est vendue à une tenancière de
maison close qui entend bien la mettre au
pas. Mais « Jeanne » ne l'entend pas de
cette oreille : avec l'aide d'Indra, une
splendide Indienne qui est devenue sa
confidente, Jolanne parvient à prendre la
place de Madame Rose, et se retrouve ainsi
la nouvelle patronne de la maison de
plaisir. Mais le passé de Jolanne refait
alors doublement surface !
Auteurs : Van Hamme, Alcante, Vallès
- Coloriste : Favrelle
Genre :
Historique
• Public : Ado-adulte - à partir de 12 ans
Paru le : 30 août 2013 • Pagination : 48
pages • Format : 23.7 x 31 cm
ISBN : 9782803631971 • Prix de vente public
: 14.45€
Sur internet :
http://www.lelombard.com/albums-fiche-bd/rani/maitresse,2578.html
Concours terminé...
La très belle surprise, c'est le dernier opus
proposé par l'auteur (scénariste,
dessinateur...) suisse Cosey,
avec son seizième épisode des
aventures de Jonathan
: Celle qui fut.
C'est dans un marché du Sud de l'Inde que Jonathan reconnaît un
mainate du nom de Garuda. Après
avoir acheté l'oiseau qui parle, Jon
décide de retrouver la jeune
Indienne, propriétaire de Garuda :
April, rencontrée vingt ans plus
tôt. Jon n'a pas oublié le caractère
extrême d'April, sa fascination pour
Kâli, la déesse du temps et de la
mort, et son mépris absolu de toute
peur.
April est à la recherche des documents qui lui permettraient de
faire condamner le Tigre Rouge,
l'assassin de ses parents. Une quête
dangereuse... Mais elle pourra
compter sur l'aide de son ami
d'enfance.
Auteur : Cosey
Genres :
Autre regard,
Aventure • Public :
Tous Publics - Famille
Paru le : 06 septembre 2013 •
Pagination : 56 pages • Format :
22.2 x 29.5 cm
ISBN : 9782803633227 • Prix de vente
public : 12€
Sur internet :
http://www.lelombard.com/albums-fiche-bd/jonathan/celle-qui-fut,2780.html
Et une version collector :
Paru le : 06 septembre 2013 •
Pagination : 72 pages • Format :
24.1 x 31.8 cm
ISBN : 9782803633340 • Prix de vente
public : 14.45€
Sur internet : http://www.lelombard.com/albums-fiche-bd/jonathan/celle-qui-fut-collector,2777.html
La Ville de Beausoleil,
le centre culturel de la
Providence/La Semeuse-Nice
et
l'Association Saptak India
présentent la
saison culturelle octobre 2014 :
L'INDE.
Concerts, Exposition,
Documentaire vidéo.
Vendredi 11 octobre à Beausoleil
:
19h00 : Documentaire Ravi
Shankar - L'extraordinaire leçon
-
entrée libre.
21h00 : Concert de musique
indienne,
Krishna Bhatt -
Sitar & Nihar Mehta - Tabla
(tarif normal : 11 euros - tarif
réduit : 8 euros),
au théâtre Michel Daner -
3, Place de la Libération 06240
Beausoleil.
Information et réservations :
04 93 78 87 00 /
service_culturel@orange.fr Dimanche 13 octobre dans
le Vieux Nice :
18h30
: Concert de musique indienne et
exposition de photos sur l'Inde
-
Krishna Bhatt - Sitar & Nihar
Mehta - Tabla -
tarif concert : 10€ / 12€ / 15€
-
exposition: entrée libre -
Information et réservations :
04 93 80 34 12 /
providence@lasemeuse.asso.fr
-
06 26 52 48 14
/saptakindia@yahoo.com Du 8 au 25 octobre dans le
Vieux Nice :
"EXPOSITION PHOTO INDE" PAR
ROGER BELLA - CENTRE CULTUREL DE
LA PROVIDENCE -
8 BIS RUE SAINT AUGUSTIN, 06300
NICE - .ENTREE
LIBRE
Le 14 octobre 2013 à
18 h. 15
Découverte d'une épave dans l'océan
Indien
Nouvelles données sur
le commerce maritime
(avec projection)
Osmund Bopearachchi
Directeur de
recherche au CNRS
AU CENTRE ANDRÉ
MALRAUX
78, BD RASPAIL / 112,
RUE DE RENNES 75006 PARIS - MÉTRO :
RENNES OU SAINT-PLACIDE
Entrée : 8 euros – Étudiants : 5
euros
Lundi14 octobre2013, à
18 h. 15
La découverte d’une
épave dans l’océan
Indien : nouvelles
données sur le commerce
maritime. Conférence,
avec projection, par
Osmund
Bopearachchi,
directeur de recherche
au CNRS.
La découverte d’une épave près de la côte Sud de Sri Lanka, à 5 km
de l’ancien site portuaire de Godavaya, a
révolutionné notre connaissance de
l’histoire du commerce maritime en Asie du
Sud, en particulier avec l’Inde. Il s’agit
d’une découverte fortuite par deux pêcheurs
originaires du village, qui ont remonté à la
surface un objet de pierre présentant trois
symboles auspicieux (ashtamangala)
gravés en surface : un nandipada,
un srîvatsa et un poisson. Une
prospection de surface a été menée en 2008
par des plongeurs du Département
d’archéologie et du Central Cultural Fund
(service d’archéologie maritime), avec
l’appui de la Marine nationale, afin de
constater le potentiel archéologique du
site. Ils ont prélevé des échantillons de
céramique rouge et noire, ainsi que deux
lingots de verre purifié. Encouragée par ces
deux explorations, une équipe de 20
plongeurs a lancé un programme de fouilles
sous-marines de cinq semaines en décembre
2012 et janvier 2013.
L’épave de Godavaya date du deuxième ou du
premier siècle avant notre ère ; toute
recherche sur le commerce maritime dans
l’océan Indien liée à l’Inde doit s’appuyer
désormais sur une étude scientifique de
cette épave. Jusqu’à présent, à la
différence des navires romains dont
l’architecture est connue grâce à de
nombreuses épaves, les bateaux de l’Inde du
Sud n’ont pu être étudiés que par
l’iconographie ou l’ethno-archéologie.
Des fouilles subaquatiques plus étendues
contribueront à faire comprendre le réseau
de commerce et de communications qui relie
les capitales (ou les centres politiques
situés à l’intérieur des terres) aux villes
portuaires établies sur les estuaires et
tournées vers les échanges de longue
distance. Ce projet pourrait conduire à
réécrire l’histoire économique, sociale,
religieuse et culturelle de la région.
Malgré la présence de sources textuelles et
de matériel archéologique attestant de
l’existence d’un réseau commercial important
qui relie Sri Lanka à l’Inde et à l’Occident
depuis les débuts de l’époque historique, et
en dépit de nombreuses prospections et
fouilles, aucune épave n’avait encore été
découverte près des côtes de l’Inde : celle
de Godavaya est la première qui déploie un
si vaste assemblage de matériel bien
préservé.
Lundi 4 novembre, à 18
h. 15
Panthéons indien et
iranien, différences et
similitudes
Conférence, avec
projection, par
Céline Redard,
chercheuse au Collège de
France, chargée de cours
à l’EPHE
Lundi 18
novembre, à 18 h. 15
Des
métaux pour les dieux et
les rois : parallèles
indiens et sud-est
asiatiques Conférence,
avec projection, par
Brice Vincent,
docteur en langues,
civilisations et
sociétés orientales,
université Paris III -
Sorbonne Nouvelle
Lundi 2
décembre, à 18 h. 15Nymphes et beautés
célestes des temples de
l’Inde
Conférence, avec
projection, par
Amina Taha-Hussein Okada,
conservateur en chef au
musée national des Arts
asiatiques - Guimet.
Que la fête continue les 11, 12
et 13 octobre ! sous le signe de la
diversité et de l’ouverture.
Une programmation d’exception pour tous, débutants, avancés ou
simplement curieux de la variété des
pratiques et de la culture yoga
.
L’entrée à 8 € vous donne accès pendant 3 jours aux 60 cours
libres, à un Village enfants-parents
(mini pratiques & conférences,
musique, contes…), à des sessions
musicales (Lama Gyurme, Bauls, Dave
Stringer -à confirmer), aux 10
conférences prestigieuses, à la
table ronde « Santé », au salon de
115 exposants choisis, à une
restauration vegan et végétarienne,
au « bal des yogis » et à beaucoup
d’autres animations. Mais également,
à plus de 80 Ateliers payants de
1h30 et 2h30 (Hatha, …nidra,
méditation, respiration, cours pour
séniors, débutants, handicapés,
enfants…) avec des professeurs de
renom.
Cette 2ème édition est organisée au CENTQUATRE par le
mensuel Santé Yoga.
Date : 11, 12 et 13 octobre 2013
Entrée : 8€ / jour ou
forfait 20€ / 3 jours. TR : 5€ /
jour
Réservation et programmation
complète sur
www.yogafestival.fr
La compagnie Arabesque et Mudras
donnera à partir du 12 octobre
prochain, Sur les pas de l'Inde,
un spectacle de danse Bharata-natyam
classique et contemporain. C'est
en prologue de sa saison qui doit
s'ouvrir un peu plus tard que le TCM,
Théâtre de la Comédie, à
Marseille, accueille ce
spectacle d'une plastique
remarquable, où la recherche du
geste parfait côtoie une musique
enivrante et les textes sacrés de
l'Inde. Deux danseurs et un comédien
nous font apprécier et peut-être,
selon le cas, découvrir la beauté de
la danse indienne, évènement
suffisamment exceptionnel qui mérite
d'être signalé. Dans cette création, les danseurs et le comédien conduisent le
spectateur vers l’âme de l’Inde,
toujours colorée, rythmée, et riche
en symboles. Les danses, tels des
tableaux, soulignent ces différents
aspects évoqués par des musiques du
nord et du sud de l’Inde, et des
instruments et chants de l’Inde aux
mille ragas, chacun témoin d’une
émotion universelle.
TCM, Théâtre de la Comédie - 107 bis
BD Jeanne d'Arc 13005 Marseille
Spectacle Sur les pas de l’Inde
Les 12, 19 Octobre 2013 à 19h30
et les 13, 20 Octobre 2013 à 15h30
Tarif normal : 20 Euros
Tarif réduit : 18 Euros
Chorégraphie et mise en scène
Patrick et Mirmala Gleyse Avec Mirmala, Patrick Gleyse, Jean-Pascal Mouthier.
Les éditions Le Bruit du Temps
publient une nouvelle édition de Route des Indes, le grand roman
d'Edward Morgan Forster...
Dernier roman de Forster,
publié en 1924, Route des Indes
est sans nul doute son plus grand accomplissement dans la fiction.
Mrs Moore, mère d’un
jeune fonctionnaire de l’Empire britannique, accompagne à Chandragore Miss
Quested, une jeune institutrice qui hésite à épouser son fils. Les deux
voyageuses, au grand dam des résidents anglais de la petite ville qui se gardent
de tout contact avec la population locale, éprouvent le désir de rencontrer
l’Inde réelle. Mrs Moore fait la connaissance d’un Hindou musulman, le Docteur
Aziz, qui se propose d’organiser une visite aux grottes de Marabar, à quelque
distance de la ville. Mais la paisible excursion se mue en catastrophe : Adela
Quested disparaît et prétend avoir été agressée par Aziz dans l’une des grottes.
Le Docteur est arrêté. L’affaire avive les tensions latentes entre colons et
indigènes. La colonie britannique scandalisée fait bloc derrière la victime, à
l’exception de Fielding, un professeur de collège persuadé de l’innocence
d’Aziz.
Lors du procès, alors que la condamnation du Docteur est considérée
comme acquise, Miss Quested se rétracte à la surprise générale avant de se
réfugier chez Fielding. Malgré l’issue favorable, le sincère désir d’amitié qui
anime Fielding et Aziz ne pourra résister aux forces qui les séparent et qui
conduiront à chasser définitivement les Anglais du pays.
Forster poursuit ici la critique
virulente des valeurs de la bonne société britannique entamée dans
Le plus long des voyages – et aussi sa réflexion
sur le mariage, l’amitié et le désir. Mais tout, dans ce dernier livre, à
l’image de l’Inde et de l’écho indistinct que renvoient ses grottes, se révèle
infiniment plus complexe.
Le succès du roman, immédiat dès sa parution, ne s’est jamais démenti et a été
renouvelé par l’adaptation cinématographique, très fidèle, qu’en a donné David
Lean en 1984. E.M.
Forster et l'Inde E. M. Forster fait un premier séjour en Inde en 1912-1913,
à l’invitation d’un ami qui avait été le précepteur du Maharajah de Dewas. En
1921, il y retourne pour un séjour de plusieurs mois, cette fois en qualité de
secrétaire privé du prince, pour remplacer un Colonel anglais tombé malade.
Forster retrouve là-bas son ami musulman, Roos Masood, alors directeur de
l’éducation à Hyderabad, auquel il dédiera
Route des Indes en 1924. Il consacre aussi à l’Inde
plusieurs essais, écrits durant son séjour et réunis dans
Abinger Harvest en 1936, que
nous donnons ici en annexe au roman. Et, en 1953, un autre livre,
The Hill of Devi, dans lequel
il publie et commente les lettres envoyées lors de ses deux séjours à Dewas.
Traduction de Charles Mauron. ISBN : 9782358730556 - 456 pages -
25€.
Nous sommes dans les années 1950, bien avant la montée en
puissance des talibans, au cœur de
ces zones tribales semi-autonomes
situées au carrefour du Pakistan,
de l’Afghanistan et de l’Iran,
dans une région marquée par le
nomadisme et de très anciennes
querelles familiales autant que par
une opposition résolue à tout
pouvoir étatique.
Tor Baz n’a que cinq ans lorsque
son père et sa mère meurent de
s’être aimés au mépris des lois de
leur tribu. Il sera recueilli par un
vieux chef nomade, puis par un
mollah peu ordinaire, avant d’être
adopté par une famille qu’il quitte
pour devenir le Faucon errant –
notre guide tout au long de ces
pages. Jamil Ahmad nous fait
rencontrer des hommes et des femmes,
simples ou d’exception, pour
lesquels il éprouve empathie et
tendresse sans pour autant occulter
la dureté, voire la cruauté dont ils
sont capables.
Souvent évoquée, de nos jours, en
termes d’enjeux géopolitiques,
religieux, ou d’affrontements
stratégiques, cette zone névralgique
de la planète fait ici, pour la
première fois, l’objet d’une
approche littéraire qui en révèle
toute la complexité, donnant ainsi à
comprendre à la fois pourquoi ni les
Britanniques, ni, par la suite, les
Soviétiques, les Américains ou les
Européens n’ont jamais réussi à y
imposer durablement leur présence,
et pourquoi ces peuples rencontrent
de telles difficultés à s’inscrire
dans une modernité pacifiée.
L'auteur : Né en 1933, haut fonctionnaire pakistanais aujourd’hui à
la retraite, Jamil Ahmad exerça
durant plusieurs décennies ses
fonctions au cœur des zones
tribales. Avec Le Faucon errant
(Actes Sud, 2013), son premier
roman, il est devenu, à
soixante-dix-huit ans, le “nouvel
auteur phare” de la littérature
pakistanaise.
Actes Sud Littérature
Hors collection
Mai, 2013 / 11,5 x 21,7 / 176 pages
traduit de l'anglais (Pakistan)
par : Sophie BASTIDE-FOLTZ
ISBN 978-2-330-01957-0
prix indicatif : 19,80€
L'Institut Français de Pondichéry
publie des ouvrages savants,
aboutissement du travail de
chercheurs de haut niveau. Il est
possible de les commander
directement sur le site de
l'institution.
On retiendra notamment les publications de ces dernières semaines :
-
Bhaṭṭoji Dīkṣita on the Gajasūtra,
de
S.L.P.
Anjaneya Sarma, François Grimal,
avec la collaboration de Luther
Obrock. En sanskrit et anglais.
Le premier volume d'une série
consacrée au genre du commentaire
dans l'histoire de la culture
sanskrite
(lien
direct).
- Ancient Fortifications in the
Tamil Country as Recorded in
Eighteenth-Century French Plans,
de Jean Deloche. En anglais.
Aujourd’hui, peu d’Indiens savent
qu’au XVIIIe siècle le Sud de la
péninsule était émaillé de
forteresses, petites et grandes, car
elles ont presque toutes été
démantelées par les Anglais au début
du XIXe siècle. Ces centres
fortifiés qui, pour la plupart,
avaient une importance
administrative et politique
considérable, étaient alors peuplés
d’énormes corps de troupes dont la
vie était rythmée par le bruit des
canons : ils sont maintenant
complètement abandonnés et
silencieux. Les grands temples du
Sud, pourtant dédiés au culte divin,
étaient aussi utilisés comme
fortifications : il ne reste rien
des constructions militaires
ajoutées à leurs enceintes.
Heureusement, les ingénieurs
géographes français de la seconde
moitié du XVIIIe siècle ont relevé
les plans d’un grand nombre de ces
ouvrages défensifs. Ces magnifiques
plans à l’aquarelle conservés dans
les archives françaises sont
présentés ici : ils montrent d’une
manière précise le niveau technique
des fortifications de l’Inde du Sud
et nous permettent de comprendre le
rôle qu’elles ont joué dans la vie
du pays tamoul (lien
direct).
-
Bilingual Discourse and
Cross-Cultural Fertilisation :
Sanskrit and Tamil in Medieval India,
de Whitney Cox et Vincenzo Vergiani. En anglais Cet ouvrage
d’essais se propose de reconstruire
les échanges, les réactions, les
affinités et les ruptures qui se
sont produits entre les univers
culturels sanskrit et tamoul au
cours de la période médiévale. Les
intellectuels qui créèrent les
œuvres au sein de ces deux univers
circulaient aisément entre ces
domaines que l’indianisme a souvent
eu tendance à compartimenter. Les
onze contributions qui composent ce
volume tentent de dépasser cette
perspective trop étroite, valorisant
ainsi la richesse et la complexité
de la synthèse culturelle qui prit
forme dans l’Inde du Sud à cette
époque. Grâce à l’examen attentif de
l’articulation des identités, des
pratiques et des savoirs dans des
textes de genres divers composés en
tamoul ou en sanskrit (autant qu’en
prakrit et en malayalam), ces essais
offrent un tableau unique de par sa
profondeur historique et sa
complexité conceptuelle de l’Inde du
Sud au moyen âge et, tout en
utilisant des démarches novatrices
dans la façon d’étudier et
d’interroger les phénomènes
transculturels, rendent compte de
l’énorme quantité de travail qui
reste à faire dans ce domaine
(lien
direct).
- An Enquiry into the Nature of
Liberation : Bhaṭṭa Rāmakaṇṭha’s
Paramokṣanirāsakārikāvṛtti, a
commentary on Sadyojyotiḥ’s
refutation of twenty conceptions of
the liberated state (mokṣa).
Edition critique, traduite en anglais et annotée par
Alex Watson, Dominic Goodall et
S.L.P. Anjaneya Sarma. Ce livre présente un court traité philosophique qui expose et
réfute vingt théories rivales de
l’état de délivrance (mokṣa), ainsi
qu’un long commentaire discursif qui
explore et développe les arguments
avancés de manière explicite ou
implicite par le traité. Ce traité
d’origine comprend cinquante-neuf
stances rédigées par Sadyojyotiḥ (c.
675–725 de notre ère), qui est,
parmi les philosophes shivaïtes du
Mantramārga dont les écrits ont
survécu jusqu’à nos jours, le plus
ancien connu. Son commentateur,
Bhaṭṭa Rāmakaṇṭha (c. 950–1000 de
notre ère), était un exégète
cachemirien qui, par ses ouvrages, a
systématisé les doctrines du Śaiva
siddhānta classique, l’école
dominante du shivaïsme tantrique
pendant plusieurs siècles. Le
lecteur trouvera ici une première
édition critique de ces deux
ouvrages liés, suivie par une
traduction anglaise richement
annotée. Une introduction avec une
annotation plus restreinte expose
les idées que les textes édités
examinent. Leur étude éclaire non
seulement l’histoire de la pensée
shivaïte, mais aussi plusieurs
doctrines théologiques pour
lesquelles les témoignages sont
rares
(lien
direct).
Cela fera
un an en novembre que Gin Piau a
publié aux éditions Tensing
L'Univers Shah Rukh Khan, premier
ouvrage biographique français consacré à la
grande star de Bollywood. Le livre de Gin
Piau se veut une véritable référence, une
véritable "bible" pour les fans de la
vedette comme pour le lecteur simplement
curieux de découvrir ce phénomène qui a
largement dépassé les frontières indiennes. Nous avons interviewé pour vous l'auteur.
Les références du livre : Monographie,
234 pages, 18 pages photos couleur
ISBN 9782919750221
Premier livre en français sur Shah Rukh
Khan.
Illustration couverture :
Photo Getty
"Shah
Rukh Khan, héros romantique consacré des
films hindis, a joué dans plus de 60 films
en 20 années de carrière et reçu un nombre
record de récompenses.
Avec son talent immense, son charisme
inégalé, son charme célèbre, il a su
conquérir plus d’un milliard de fans dans le
monde entier. Sa façon d’interpréter les
personnages de ses films, son énergie hors
du commun, sa façon de marcher, de parler,
sont devenus un standard. Il fait partie des
acteurs que l’on se transmet de mère en
fille comme on se transmet la culture,
l’éducation. Un tiers de la population
mondiale, si ce n’est plus, connaît Shah
Rukh Khan.
Si vous appartenez à cette partie de la
population qui ne connaît pas encore Shah
Rukh Khan, voici votre chance de tout
connaître sur l’acteur, l’être humain, le
présentateur, l’homme de télévision, le
philosophe et les
films de Bollywood.
Si comme de nombreux fans
vous collectionnez les citations de Shah
Rukh Khan, cette bible vous
permettra, d’avoir accès en un seul livre à
ses citations les plus importantes.
Gin Piau est née en Normandie. Elle
est passionnée par la culture
indienne et l’Inde en général. Après
avoir travaillé en tant que
mannequin au Canada et États-Unis.
Membre de l'Union Internationale de
la Presse, elle entre à l’ambassade
de Grande-Bretagne à Paris comme
Attachée Commerciale. Ce poste lui
ouvre les portes du cinéma, de la
mode et des Médias. Ainsi naît sa
double passion pour Shah Rukh Khan
et les films indiens.
Le livre est disponible
directement aux
éditions Tensing, mais
également ici :
Le
dimanche 22 septembre à 20h,
l’auditorium du Louvre accueillera
Salman Rushdie. Si son nom
est mondialement connue depuis la
fatwa lancée contre lui en 1989, qui
est-il vraiment ? Le récit
autobiographique qu’il a publié
récemment, Joseph Anton,
apporte de passionnants éléments de
réponse. Avec le talent de conteur
qu’on lui connaît, l’auteur
britannique d’origine indienne
décrit son sort d’homme et de
créateur de fiction condamné à la
clandestinité. Adepte d’odyssées
fantastiques dans l’espace et dans
le temps, l’auteur britannique
d’origine indienne n’aime rien tant
que de faire dialoguer les
différentes cultures qui le
constituent. Libre-penseur qui fait
dialoguer les différentes cultures
qui le constituent, Salman Rushdie
est un artiste adepte d’odyssées
fantastiques dans l’espace et dans
le temps. A travers son regard, les
œuvres du Louvre sont autant
d’invitations au voyage.
Les
tarifs sont de 5€ (moins de 26 ans)
à 10€.
France India et L'EIEBG proposent une journée exceptionnelle de
manifestations sportives et lutte indienne, le dimanche 1er septembre,
avec le Gurdwara Baba Prem Sing Sports Club. Plus d'informations sur le
site de France India.
Nouveau "look" pour ce
411e numéro, et en éditorial, la
présentation du nouvel ambassadeur,
M. Arun K. Singh, en provenance de
Washington.
Ce numéro nous invite notamment à revenir sur la visite de François
Hollande en Inde et à découvrir
l'état de l'Uttar Pradesh à travers
un riche dossier d'une vingtaine de
pages. La rubrique culture se penche
sur le Kathakali et la danse
Manipuri, mais nous propose
également un "Zoom sur la culture
indienne à Paris". Ne manquez pas
également les autres rubriques,
"Business", "Littérature", "Cinéma",
avec en particulier une présentation
du film English Vinglish et
une rétrospective des festivals
ayant rendu hommage au cinéma indien
à l'occasion de son centième
anniversaire (avec bien sûr le
festival Saison Indienne à Toulouse,
dont La Nouvelle Revue de l'Inde
est partenaire officiel).
Au
Parc de La Villette à Paris,
dans le cadre des "Scènes d'Eté",
les 24 et 25 août seront aux
"Couleurs de l'Inde".
Des musiques traditionnelles du
Rajasthan aux airs populaires de
Bollywood, les couleurs musicales de
l'Inde sont nombreuses. Ateliers de
danse, de tablas, de rythmes vocaux,
de cuisine, déambulations, précédent
un concert final réunissant une
quinzaine de musiciens et danseurs
qui parcourent le monde pour
partager la musique et la danse
indienne d'hier et d'aujourd'hui. Au programme
Samedi 24 août
·
De 16h à 18h sur la Prairie du
Triangle :
Atelier de tablas et rythmes vocaux
animé par Amrat
Hussain, maître percussionniste
À partir des improvisations aux
tablas du maître percussionniste
Amrat Hussain, découverte et
pratique des rythmes ancestraux de
l'Inde. Pour joueurs de tablas et
amateurs de pratique vocale.
·
De 16h à 18h à la Grande halle sous
le péristyle
Atelier de danse indienne
animé par Chanda Sapera
Démonstration et initiation à la
danse de la charmeuse de serpent (Kalbeliya)
et à celle de la cour des Maharadjas
du Rajasthan (Ghoomar) par Chanda
Sapera, native d'une famille
traditionnelle de la caste Kalbelia
et danseuse de la troupe Dhoad.
·
De 15h à 17h sur la Prairie du
triangle
Atelier de tablas et rythmes vocaux
animé par Amrat Hussain, maître
percussionniste
·
De 15h à 17h à la Grande halle sous
le péristyle
Atelier de danse indienne
animé par Chanda Sapera
·
Départ à 17h place de la fontaine
aux lions
déambulation
Jaipur Maharajas Brass Band Le Jaipur Maharajas Brass Band
vous entraîne à travers ses
réjouissantes performances dans un
univers explosif de gaieté, de
dynamisme, d'énergie dans lequel
affleurent sans cesse la grâce et le
sacré. Puisant dans les rythmes
classiques et traditionnels du
Rajasthan aussi bien que dans le
folklore et le cinéma populaire
indien, cette fanfare sème la joie
et l'esprit de fête sur son passage.
Concert sur la prairie du cercle sud
·
A 19h
Bollywood Masala Orchestra « Spirit
of India » Pour la première fois le
Bollywood Masala Orchestra,
fondée par le musicien Rahis Bharti,
unit la musique spirituelle indienne
classique aux chansons romantiques
désormais célèbres de Bollywood.
Dix-sept artistes, musiciens,
chanteurs, danseuses, acrobates,
cracheurs de feu, vous emmènent dans
un voyage spectaculaire, festif et
dansant. En
savoir plus sur le Bollywood Masala
Orchestra
Informations pratiques
Accès
En plein air sur le parc
Métro : Porte de Pantin
Parking : Parc de la Villette nord
Consultez le plan du Parc PMR
: Contactez le
01 40 03 75 75
Concerts en accès libre et gratuits
Ateliers gratuits sans inscription sauf
ateliers cuisine : tarif 30 € /
Carte Villette 20 €
En cas d'intempéries
Rendez-vous sur
la
page Facebook pour
vérifier si les concerts sont
maintenus.
Les éditions Persée nous
proposent, en cette rentrée 2013,
Indiablognote, Récits de voyage,
d’Olivia Dimont et Geoffroy de Lassus. Comprendre l’Inde ? C’est bien cette question qui a conduit
Geoffroy et Olivia, expatriés à Bombay de
2008 à 2011, à lancer leur blog
www.indiablognote.com.
En raison de la variété des articles sur des sujets touchant à la
vie quotidienne, à l’actualité indienne, à
la société, à l’histoire, à l’économie, à la
culture, aux livres sur l’Inde ou encore sur
les films indiens, le blog connait
rapidement un grand succès avec plus de 130
000 visiteurs.
De retour en France et souhaitant prolonger la découverte, Olivia
et Geoffroy décide d’en faire un livre.
Ce recueil est ainsi une intéressante compilation de chroniques,
non dénuée d’humour, rédigée dans un style
alerte et épuré. Des origines à l’époque
actuelle, entre anecdotes et sujets de fond,
ce kaléidoscope épistolaire est une mine
d’informations sur la prodigieuse diversité
et les spécificités du subcontinent indien,
parfois surprenantes pour nous autres
Européens.
Préfacé par Frédéric Bobin, correspondant du journal Le Monde à
New-Delhi, ce livre, écrit d’une plume à la
fois légère et sérieuse, ravira ceux et
celles qui s’intéressent à l’Inde et
principalement ceux et celles qui font le
choix d’aller vivre en Inde, ce pays aussi
paradoxal que fascinant.
Les auteurs :
De nationalité Franco-Canadienne et
diplômé de l’Institut Commercial de
Nancy (76), Geoffroy de Lassus est
un banquier qui a passé de
nombreuses années à l’étranger
(Canada, Brésil, Corée, Inde).
Occupant des postes à
responsabilité, il est constamment
tourné vers les autres. Sans être historien mais en véritable passionné de l’Inde, il
nourrit son ouvrage par un vrai
travail de recherche.
Il est également auteur de deux ouvrages sur l’histoire du Groupe
BNP Paribas en Inde et en Australie
Olivia Dimont, cinéphile avertie, partage sa vie, ses passions, ses
voyages... PRIX : 18.80 euros
ISBN : 978-2-8231-0333-5
C'est au Théâtre de l'Orme, à
Paris, que Cylia Seebaluck
Mahé propose sa lecture
théâtrale du chant 3, livre 10 de Savitri ("Débat de
l'amour et la mort"), œuvre poétique de
Sri Aurobindo, dans une traduction
de Satprem. La lecture sera donnée
les 15, 16 et 17 août à 19 heures.
Cylia, jeune artiste mauricienne et bretonne, a lancé "l'humble création d'un
laboratoire contemporain de
recherche théâtrale
franco-indien autour du poème
indien de Savitri.
La dimension de laboratoire
consiste aussi parfois en une
exploration des métissages des
genres franco-indiens : par
exemple, lire de la poésie de
sagesse indienne contemporaine
sur un air de Piaf, de chansons
à texte français...AU
THEATRE DE L'ORME
16 RUE DE L'ORME PARIS 19e
METRO TELEGRAPHE
RESERVATION SUR BILLET REDUC :
http://www.billetreduc.com/97108/evt.htm
TARIF UNIQUE : 10 EUROS
SITE:
http://cylia.org
L'association KalaSetu présente le concert
Le vent de l'Inde - musique
classique de l'Inde, avec Rishab Prasanna
- Flûte Bansuri et Yunus Khan -
Tabla.
Le concert aura lieu le vendredi 12 juillet, 2013 à 20h à
Casa Poblano - 15 rue Lavoisier, 93100
Montreuil - M° Robespierre (ligne 9,
sortie 1) à 150m.
Possibilité de restauration sur place.
Concert 8 €, plat végétarien 7 €, plat non végétarien 9 €.
Un album et un spectacle
épicés, "made in India"
avec les plus grands
musiciens de Bollywood.
Avec son troisième album
décliné en un
ciné-concert original,
le chanteur et
compositeur Olli
importe en France toutes
les sensations fortes
d’un Bollywood coloré
Un album comme au cinéma...
C’est l’histoire d’un
chanteur breton tombé
amoureux d’une star du
cinéma de Bollywood, qui
parcourt l’Inde à sa
recherche. La dizaine de
titres de l’album
Olli goes to Bollywoodracontent et
ponctuent cette quête.
Les thèmes, les
rythmes : tout y est
pour faire vivre aux
auditeurs les émotions
fortes d’un film de « Bollywood ».
L’inimitable son indien,
Olli est allé le
chercher là-bas. L’album
a été enregistré à
Chennai (Madras), dans
les studios et avec les
musiciens d’A.R Rahman,
le célèbre compositeur
de la musique de
Slumdog millionnaire.
Une collaboration qui a
permis à Olli de
bénéficier d’un grand
orchestre à cordes
réputé, des meilleurs
instrumentistes et de la
chanteuse Kavita Baliga.
Tous dédient le reste de
leur temps à enregistrer
pour les fameux films de
Bollywood.
Un spectacle pour
découvrir l’Inde
Sur scène, Olli est
entouré des musiciens
indiens et français.
Derrière lui : un grand
écran où il sert l’Inde
sur un plateau à qui
veut la goûter. En
janvier 2013, une équipe
menée par le vidéaste
Jesse Lucas est partie
dans le Sud de l’Inde
filmer les aventures du
chanteur amoureux. Les
scènes et clips de ce
Bollywood inimitable ont
été tournés en
collaboration avec une
production indienne, une
chorégraphe, une troupe
de danseuses, danseurs,
acteurs et figurants de
Madras. Derrière le
kitsch, les couleurs et
l’enthousiasme de cette
folle histoire rejouée
sur scène, on trouve de
précieuses clés pour
comprendre le peuple
indien. On n’a jamais
voyagé en Inde aussi
facilement.
Olli goes to Bollywood
est le troisième volet
de l’aventure qu’est "Olli
& the Bollywood
Orchestra". Deux albums
ont été distribués à
travers toute l’Europe :
Kitch’en en 2005
et Tantra en
2008.
Coproducteurs :
Bleu Pluriel à Trégueux,
La Vapeur à Dijon, Les
Tombées de la Nuit à
Rennes.
Partenaires
institutionnels :
La Région Bretagne, la
Convention Institut
Français / Région
Bretagne, la Convention
Institut Français /
Ville de Rennes et
Rennes Métropole, le
Centre National de la
chanson, des variétés et
du jazz, l’Adami, la
Sacem.
En tournée été et
automne 2013, disponible
2014
Album sorti en France,
Allemagne, Benelux
Personnalité atypique,
farouchement intègre, Chief-Minister
accessible, Narendra Modi bouscule
les traditions politiciennes. Adulé
par certains, abhorré par d’autres,
il ne laisse personne indifférent et
vient d’être réélu pour la troisième
fois à la tête du Gujarat.
Ses actions dans les domaines de
l’éducation (particulièrement celles
des petites filles), de la santé,
son extraordinaire implication à
améliorer le statut de la Femme, et
sa vision d’un État tourné vers
développement respectueux de la
nature forcent l’admiration. Les
résultats de sa bonne gouvernance
ont largement dépassé les frontières
de son État, le propulsant sur un
plan national ; beaucoup voient à
présent en lui le possible futur
premier Ministre de l’Inde, à
l’horizon 2014, quelqu’un avec qui
le monde devra apprendre à compter.
Pour écrire cet ouvrage, (le
premier écrit en Europe sur le
sujet) Chantal Ardino, a séjourné
longuement dans le Gujarat,
rencontrant Narendra Modi à
plusieurs reprises, enquêtant dans
des milieux très divers, à tous les
niveaux de la société Gujarati. Elle
vous propose d’aller à la rencontre
de cet homme étonnant et de “son
Gujarat”, ainsi qu’il se plait à
l’appeler. Un voyage au cœur d’une
région encore mal connue en
Occident, mais dont la richesse
historique, architecturale,
culturelle et la légendaire
hospitalité de ses habitants l’ont
tout simplement fascinée.
Narendra Modi – En Inde,
leader et homme de convictions,
par Chantal Ardino.
ISBN 978-2-9543367-0-1
Édition brochée, 340 pages, 24 pages
photos couleurs
18 euros – 20,50 euros franco de
port (France)
JMA Éditions – “Soleil Levant C14” –
4 avenue des Rives
06270 Villeneuve-Loubet
Tél. 04.92.13.16.52 – Port.
06.21.80.43.21
E-Mail :
jma.editions@gmail.com
Pour mieux connaître Narendra Modi
et l’auteur, rendez-vous sur le site
:
www.narendramodibiographie.com
Le
festival Danses Pour Tous en région toulousaine, se
tiendra à Galembrun et Le
Burgauddu 15 au 21 juillet,
avec Maria Robin en invitée
d'honneur pour les chants tziganes
et la danse indienne toute la
semaine... et beaucoup d'autres
magnifiques artistes pour les stages
de danses et de musique s:
Valérie Lussac aux claquettes,
Antoine Depuichaffray aux
percussions africaines et Audrey à
la danse africaine
Gustavo Gomez au tango
Samara Hilal à la danse orientale et
stage bien-être
les Smoky Eyes au tribal fusion
Guillemette à la danse indienne
Elisa La Chispa au flamenco
Medhi de la compagnie Octroi au
hip-hop
Le festival c'est aussi du cinéma
en plein air, des spectacles, des
expo photos, un concours
beaux-arts...
Et encore du tatouage temporaire au
henné naturel, de l'artisanat
indien, des restaurations variées du
mardi au samedi soir.
Tout le programme sur le site du
festival :
www.festivaldansespourtous.fr
Si vous avez un compte facebook,
voici la page de l'événement:
https://www.facebook.com/events/556755657679376/
Les inscriptions
aux stages sont ouvertes et ont
commencé. Vous pouvez vous inscrire
:
Guillemette
Festival Danses Pour Tous
06.76.74.42.97
www.festivaldansespourtous.fr
Le
Centre de Relations Culturelles
Franco-Indien (CRCFI) organise
un congrès international de yoga
du 21 au 26 juillet à Metz. Mesdames Mira-Baï Ghatradyal,
présidente du Centre de Relations
Culturelles Franco-Indien et Monique
Mahesh, organisatrices de ce
congrès, accueilleront les
conférenciers et les participants
dans le cadre du cloître des
Récollets de Metz du 21 au 26
juillet 2013.
Cet évènement propose aux participants un enrichissement de leur
connaissance sur des thèmes liés
très généralement à l’individu dans
son ensemble toujours en rapport
avec l'Inde, sa philosophie, sa
spiritualité, l'art indien et ses
sciences, dont fait partie yoga.
Comme l’aurait souhaité Shri Mahesh, le Congrès international du
CRCFI, toujours dans un esprit
d’ouverture de la culture de l’Inde,
présentera un programme de
conférences et d’ateliers de yoga
animés par de nombreux spécialistes
de diverses disciplines. Ce congrès est ouvert à tous.
Détails et bulletin d'inscription.
PROGRAMME DES CONFERENCES ET
ATELIERS DE YOGA
Swami VEETAMOHANANDA, du Centre
Védantique Ramakrishna de Gretz (77)
Conférence et pratique méditatives
selon la tradition indienne.
Madame Nathalie BAZIN,
Conservatrice du Musée Guimet (Paris
75), spécialiste des antiquités
hymalayennes Durga,
Chamunda, Kali : Formes guerrières
et terrifiantes de la Grande Déesse.
Madame Marion KAPLAN,
Bio-nutritionniste, élève du Docteur
Kousmine, a écrit de nombreux
ouvrages sur la nutrition,
Prévenir et guérir grâce au régime
sans gluten ni laitage.
Notre système immunitaire dépend de
notre conception, de notre
environnement et de notre
alimentation.
Marion Kaplan animera une
table-ronde sur le thème de
l’alimentation consciente.
Monsieur Michel CAZENAVE,
Philosophe, écrivain et poète, La
science et les figures de l’âme.
La Shakti.
Monsieur Gilles JOLY,
Professeur de yoga et directeur
technique de l’antenne FFHY –
Rhône-Alpes-Auvergne
Prégnante verticalité, régnante
qualité, suivie d’une pratique de
yoga illustrant la conférence.
Docteur François LAPARRE,
Médecin généraliste, pratiquant du
yoga depuis de nombreuses années
Stress et Yoga.
Monsieur Georges VACHON,
Ostéopathe D.O. La
mécanique ostéo-articulaire de la
posture du lotus.
Ateliers de pratique de yoga et de
yoga nidrâ animés par des
enseignants formés par Shri Mahesh.
Des
animations culturelles sont prévues
en soirée durant la semaine :
projection d’un film, concert de
musique indienne, table-ronde.…
Déroulement d’une journée du Congrès
: Un programme détaillé sera
communiqué sur le lieu du Congrès.
7h30-8h30 : Pratique de Hatha Yoga
8h30-9h30 : Petit-déjeuner
9h30-12h20 : Conférence et pratique
de yoga
12h30 : Déjeuner
15h00-19h : Conférence et pratique
de yoga
19h30 : Diner
Ce programme peut-être sujet à des
modifications. Fin du stage : vendredi 26 juillet 2013 après le petit
déjeuner.
Contact : Centre de
Relations Culturelles Franco-Indien
50 rue Vaneau – 75007 Paris
Association Loi 1901, Reconnue
d'Utilité Publique, Décret du
18/07/2003
sous le n° INTA0300156D
téléphone : 01 45480464
Télécopie : 01 45 48 15 57
courriels :
crcfi@club-intemet.fr –
assocrcfi@gmail.com
RKM Productions vous propose un nouveau concert du chanteur
Rashmi Kant à Paris, le 25
juillet à 20 heures dans le
cadre de l'opération Paris Plage.
C'est à la Péniche le Marcounet
(Quai de l'Hôtel de Ville, M°
Pont-Marie).
Pour plus d'informations, le
site officiel de l'artiste
et cette
interview...
Laissons Jahanguir Nazir, du
groupe Aldavidjah, nous présenter ce
CD, Soma...
La rencontre entre les membres du trio s'est faite autour
d'une passion commune pour les
musiques "des Indes". elles
inspirent notre pratique, et c'est
le point de départ de notre aventure
: le plaisir de jouer ensemble,
d'improviser autour de compositions
originales, de ragas
et talas Indiens, de rythmes de
transe folk ou soufi, inspirés par
les différentes fusions entre jazz
et musique indienne contemporaine.
C'est un groupe qui joue assis et
debout, David
Grosjean passe du
sitar à la guitare,
Jahanguir Nazir des
tablas au cajon et percussions en
passant par la voix et les ambiances
d'échantillons sonores électroniques
et Aldo
Guinart de la flûte
traversière aux saxophones.
Les rencontres avec divers
artistes indiens, le chanteur/tabliste
pakistanais
Shabir Hussain par
exemple, ont conforté Aldavidjah
dans le désir de présenter sa
musique à un auditoire.
Aldavidjah est un
prénom du moyen orient, qui nous à
bien inspiré car nos prénoms sont
Aldo, David et Jahanguir donc
Mon premier est le début de Aldo,
"Ald" Mon deuxième tire sa
racine de David
"avid" Mon troisième est le
début de Jahanguir
"Jah" Mon tout est le nom
de notre trio !
On peut y reconnaitre beaucoup de
choses, comme le préfixe "Al", qui
vient de l'Arabe mais aussi "Jah",
que certains reconnaitront, un nom
déjà ouvert aux mélanges...
Le disque Soma
est le fruit d'une
pratique commune des musiciens d’Aldavidjah pendant trois ans !
Venant chacun d'univers
différents mais réunis autour de la
même volonté d'approfondir nos
expériences et pratiques musicales
du sous-continent indien, tout en y
ajoutant nos sensibilités
personnelles et influences des
divers horizons que nous avons
traversés, ainsi on y retrouve des
influences aussi bien du Jazz, du
Rock, des soupçons de musiques
électroniques, que de la musiques
métissée des îles ou latines, qui
sont tissées avec des dominantes de
musique classique indienne, de
musique folk indienne ou plus
mystiques avec les musiques de
transe soufi, Qawwali du Pakistan
par exemple. Nos Influences dans ce
domaine viennent des nombreux
artistes qui ont pris le parti de
mélanger les musiques Hindoustani et
les musiques plus occidentale, comme
les saxophonistes
Charlie Mariano ou
Jan Garbarek, le
groupe
Shakti avec
Zakir Hussain et
John
McLaughlin, ou
encore
Yehudi Menuhin et
Ravi
Shankar dans le
mémorable West
Meets East. De là s'est imposé à
nous la notion de
Hindus trans Jazz, aussi
bien dans le sens du trio des
musiques Hindustani, des musiques de
transe et du jazz, mais aussi dans
un voyage musical du jazz et/ou des
musiques innovatrices à travers la
musique indienne, comme un métissage
qui pour les membres de
Aldavidjah sont une
évidence et une réalité.
Vous pouvez écouter et commander le disque Soma
sur notre site
www.myzikinf.com/aldavidjah où
il est en vente en ligne pour ceux
qui voudraient l'original dans sa
pochette (digipak cartonné), et non
compressée ! Mais il est également
en vente sur tous les sites de
diffusion numérique en
téléchargement en version
mp3, comme Itunes ou amazon.
Nous sommes en train de préparer
notre tournée et tacherons de vous
tenir informer sur les dates très
prochainement !
Le Centre d'Etudes de l'Inde et de l'Asie du Sud
(CNRS-EHESS) propose en PDF le sixième
numéro de sa lettre d'information, en
anglais. Au sommaire, notamment, une
interview de Daniela Berti et Gilles
Tarabout, coordinateurs du programme "Just-India",
divers articles et une revue de livres... A
télécharger ici.
Paris vibrera de la ferveur hindoue le dimanche 7 juillet à
l'occasion du festival de l'Inde, avec le défilé du char de Jagannath... Toute l'Inde en Fête - Festival du Ratha Yatra (défilé
de Char) de Jagannath, le dimanche 7 juillet 2013 - Forum Les Halles –
Fontaine des Innocents - PARIS 75001
RER A-B-D : Chatelet les Halles // Metro : Les Halles (ligne 4).
Toutes les Associations Indiennes, Mauriciennes, Népalaises et Sri-lankaises y
participent. Des Shenais Tamouls aux Garba danses Gujaratis et Bhangra Danses
Punjabi, en passant par les danses d'Orissa et la distribution de friandises.
Toutes les communautés y sont présentes.
Itinéraire :
13h30 : Arrivée de Jagannath, Subhadra and Balram dans une Limousine de "La
Nouvelle Mayapura" – 36360 Châteauroux (Châteaux de Loire) à Forum Les Halles -
Paris.
Jagannath, Subhadra and Balram sur le Char
14h30 à 15h : Forum Les Halles : inauguration par Ambassadeur de l’Inde +
Départ défilé
Boulevard Sébastopol
Rue du Fb. Saint Denis
Gare de l’Est
Gare du Nord
La Chapelle
18h : Arrivée du défilé – Place de Stalingrad Stalingrad
18h à 20h30 : Spectacle de musique et de denses indiennes
18h à 19h30 : distribution de prasad : 5000 Repas-savoureux dîner gratuit
offerts par Krishna
L’artiste peintre Kathleen Scarboro propose son
exposition My India,
du 1er mai au 30 juin 2013 à
l’Espace Saint-Martin - 199 bis, Rue
Saint-Martin, Paris 75003.
Vernissage le 2 mai 2013 à partir de 18h ; entrée libre. A 20
heures : conférence de Jean-Joseph
BOILLOT, professeur de sciences
sociales et écrivain : « Chindiafrique,
l'Inde et les deux autres géants
Chine et Afrique dans le monde de
demain"
Horaires de l’exposition : 10h - 19 h du lundi au samedi, et dimanche
11h - 18h.
Métro Rambuteau /Etienne Marcel - Tel: 01 48 51 47 65, 06 01 99 21
39.
Vendredi 22 et samedi 23 mars à 20h30 Sharmila Sharma
et Rajendra Kumar Gangani
Danse kathak (Inde du nord) Accompagnés par Vinod Kumar (chant), Prabhu Edouard (tabla), Michel
Guay (sitar) et Henri Tournier
(flûte)
Née à Jaipur, Sharmila Sharma commence dès son plus jeune âge
l’apprentissage de son art auprès de
sa mère, elle-même danseuse.
Sharmila Sharma est disciple des
maîtres et danseurs Pandit Rajendra
Kumar Gangani, dans le style de la
Jaipur Gharana, et de Shri Ram
Mohan, ainsi que du célèbre Pandit
Birju Maharaj, dans le style de
Lucknow. Depuis 1983, elle a
effectué de nombreuses tournées dans
le monde entier avec la compagnie de
Pandit Birju Maharaj, puis avec
Pandit R. K. Gangani. Pionnière de
l’enseignement du kathak en France,
où elle vit aujourd’hui, elle se
produit dans de nombreux festivals
et théâtres prestigieux ; et a
participé avec son maître R. K.
Gangani à un spectacle de fusion
kathak - flamenco et danse orientale
qui a été donné dans toute l’Europe.
Rajendra Kumar Gangani, né au sein
d’une famille de danseurs du
Rajasthan, est aujourd’hui l’une des
plus grandes étoiles du kathak.
Professeur à l’Institut du Kathak
Kendra de Delhi, ses spectacles et
chorégraphies pour troupes de
danseurs lui ont rapidement apporté
une renommée internationale. Artiste
complet, il est aussi un chanteur et
musicien accompli aux tablas,
harmonium et pakhawaj.
Ils nous présenteront deux spectacles. Vendredi : Lasya Tandava, un hommage rendu aux aspects
féminin et masculin de la danse tels
qu’ils sont décrits dans le Natya
Shastra. Samedi : Gharana, une soirée au cours de laquelle
Rajendra Kumar Gangani représentera
l’école de Jaipur, et Sharmila
Sharma l’école de Lucknow.
Le maître et sa disciple : un duo exceptionnel pour deux soirées
d’exception.
Vendredi 17 mai à 20h30
Shahid Parvez Khan et
Nihar Mehta
Sitar et tabla
Parmi les grands
maitres actuels Ustad Shahid Parvez
Khan est un des musiciens indiens
les plus subtils de ce siècle.
Sa virtuosité éblouissante et son génie novateur lui ont apporté la
réputation flatteuse d’être un géant
du sitar.
Il est le septième héritier de la première famille du sitar, l'Etawah
Gharana. Il a été initié à la
musique riche de cette école par son
illustre père et gourou Ustad Aziz
Khan, un célèbre musicien et
compositeur, lui-même fils du
légendaire maître du sitar et du
surbahar Ustad Wahid Khansahab.
Comme c'est la coutume, Ustad Aziz Khan a d’abord enseigné à son
fils la musique vocale et le tabla
avant de le former à la pratique du
sitar.
Enfant prodige Shahid Parvez a rapidement entamé une carrière
internationale. Sa réputation est
celle d’un interprète
particulièrement inspiré, mais elle
est complétée par une autre qualité
rare - sa capacité à transmettre sa
musique avec patience et dévouement.
Ustad Shahid Parvez Khan résume sa
maîtrise de l’une des formes d’art
les plus exigeantes par une
philosophie profondément simple :
« La
musique est ma vie » Il sera accompagné pour ce concert par
Nihar Mehta.
Nihar est originaire d'une des plus importantes familles de
philosophes et de musiciens
d'Ahmedabad (Gujerat). Sa famille a
toujours été très active dans
l'enseignement et la promotion de
la musique
classique en Inde, notamment avec la
création d’une école,
la Saptak School
of Music, ainsi que du plus
grand
festival de musique de
l’Inde, le Saptak Festival,
qui a
lieu du 1er
au 13 janvier
depuis 30 ans. Disciple du célèbre
Pt. Kishan Maharaj, puis de son fils
Pt. Puran Maharaj, il est devenu
aujourd’hui le partenaire des plus
grands musiciens indiens.
Vendredi 31 mai et samedi 1er
juin à 20h30 Kathak
Gypsies
Namrata Pamnani
Danse kathak
Accompagnée par Lionel Dentan (rubâb
- Iran/Afghanistan), Amjad Khan
(tabla - Inde) et Sandro Mariotti
(saxophone - Europe de l’est/qawwali)
C’est autour du IXème siècle que des
milliers d'habitants originaires du
nord-ouest de l’Inde ont commencé à
émigrer vers l'ouest, porteurs d’une
riche culture de musique et de
danse, et notamment des
traditionnelles danses de temple que
l’on appelle kathak. Les kathakar
(littéralement les conteurs)
voyageaient pour raconter leurs
histoires. Même si notre demeure sur
la terre est provisoire, les
histoires se sont transmises de
génération en génération… Avant que
le kathak soit institutionnalisé et
devienne l’une des danses classiques
de l’Inde, il a aussi fait aussi
partie de la tradition folklorique,
et c’est ce que raconte ce spectacle
Kathak Gypsies ("Les gitans du
kathak").
Une forme de danse en mouvement, traversant les âges et subissant
de nombreuses influences. Le kathak,
éternel, fougueux, passionné,
perpétue la tradition en la
renouvelant sans cesse, il empreint
les âmes sans limites…..
Danseuse virtuose, Namrata Pamnani nous propose de voyager à
travers le temps : kathakar nomade,
parcourant l’Inde, l’Afghanistan et
la Perse, ses histoires sont
intemporelles. Namrata Pamnani
épanche sa soif d’itinérance en nous
entraînant du temple de l'Inde au
caravansérail de Perse. Le rubâb de
Lionel Dentan nous transporte en
Afghanistan comme en Iran, vibrant
écho aux contes de la route de soie.
Au tabla et percussions, Amjad Khan,
fort d'une riche tradition musicale
familiale, fait battre nos cœurs au
rythme immémorial de l'univers,
tandis qu’au saxophone soprano,
Sandro Mariotti se fait mémoire des
mélodies de clarinettes des nomades
d’Europe de l’est, tout autant que
du qawwali d’Asie du sud.
Vendredi 14 juin à 20h30 Dhoad,
les gitans du Rajasthan
Musiques et danses du Rajasthan
Direction artistique et tabla :
Rahis Bharti
Six musiciens, danseuse sapera et
fakir
Au confluent des cultures gitanes, hindoues et musulmanes, les
artistes de la formation Dhoad sont
les ambassadeurs de la culture du
Thar, au Rajasthan. Au cœur de ce «
pays des rois », entre les
citadelles, les palais somptueux des
maharajas accueillaient déjà les
ancêtres des Dhoad.
Mais le désert du Thar est aussi le berceau originel de tous les
gitans du monde, et celui d'une
tradition qui a traversé les
millénaires grâce aux troubadours,
musiciens, danseurs et fakirs qui
ont transmis, de génération en
génération, leur culture et leur
savoir-faire.
Dans un tourbillon de couleurs chatoyantes, ces artistes élégants
et majestueux, héritiers d’une
oralité poétique empreinte de forts
contrastes, nous proposent un
spectacle au rythme subtil et
envoûtant, un voyage hypnotique au
cœur d’une Inde moderne où la magie
des rites ancestraux ne cesse
d’opérer.
Fakir cracheur de feu, danseuse sapera et joueurs de dholaks,
kartals, harmonium, tabla, bapang et
guimbardes, voix chaudes et
passionnées, le spectacle des Dhoad
reflète, dans son exubérance
féérique, la passion d’un peuple
nomade fascinant…
Ne ratez pas la danse mythologique du cobra, gardien des vérités
spirituelles, ni le ghoomar, la
danse des courtisanes…
Un spectacle envoûtant.
Samedi 15 juin à 20h30
L’Orchestre National du Rajasthan
Musiques et danses du Rajasthan
Direction artistique et tabla :
Rahis Bharti
Quinze artistes, musiciens,
danseuses et fakir
L’Orchestre National du Rajasthan est une formation musicale
inédite, composée à la fois de
musiciens traditionnels du Rajasthan
et de cuivres de l’Inde du nord.
L'Inde est une terre à forte imprégnation spirituelle, artistique
et musicale, sans réelle division
entre les expressions artistiques et
religieuses. La musique y est
considérée comme une voie sûre et
respectée vers la réalisation de la
divinité. Mais elle est aussi source
d’expression populaire, chants
d’amour ou musiques de fêtes,
douceur ou frénésie passionnée.
C’est au carrefour des cultures du Rajasthan, des danses de temple
aux musiques soufies, des brass
bands d’inspiration anglaise aux
influences du cinéma populaire, que
l’Orchestre National du Rajasthan
s’inscrit, dans une tradition qui
s’est enrichie au fil des siècles de
nombreuses rencontres, de la
mythologie hindoue à l’occupation
anglaise, des palais moghols aux
scènes colorées de l’Inde
contemporaine.
Sous la direction de Rahis Bharti, virtuose du tabla et artiste de
renommée internationale ayant joué
avec des musiciens du monde entier,
quinze Rajasthanis vous invitent à
un voyage inédit, improbable et
surprenant.
TARIFS SPECTACLES
: 17€, tarif réduit 12€
pour les membres SAMG, demandeurs
d’emploi et moins de 26 ans. INFORMATIONS PRATIQUES
Auditorium Guimet
Musée national des arts
asiatiques Guimet
6, place d’Iéna 75116 Paris
Renseignements, réservations :
01 40 73 88 18 ou
Concert à Mouans Sartoux, le mardi 14
mai à 19h30, à la Médiathèque de
Mouans-Sartoux. Avec Ustad
Shahid Parvez, figure
emblématique du sitar indien,
Nihar Mehta au tabla
1ère Partie de Concert à
19h30 avec Philippe Puget –
Rudra veena, ccompagné au Tabla par
Nihar Mehta. 2ème Partie
de Concert à 20h00 avec Ustad Shahid
Parvez accompagné au Tabla par Nihar
Mehta.
Réservation possible à l'Office de Tourisme de Mouans-Sartoux à
partir du 2 mai uniquement : 04 93
75 75 16
Autres concerts de la tournée mai et juin 2013 - Ustad
Shahid Parvez et Nihar Mehta Concert à Paris au Musée
Guimet – Paris, Le 17 mai
à 20h30
Musée national des arts asiatiques
Guimet – Auditorium - 6, place
d’Iéna - 75116 Paris
Renseignements et réservations : 01
40 73 88 18 ou auditorium@guimet.fr Concert à Vittorio-Veneto, le 11 mai à
20h30
Presso l'Aula Magna del Seminario
Vescovile di Vittorio Veneto - Largo
del Seminario, 2 - Vittorio Veneto
(TV)
Renseignements et réservations :
riccardo.bertola1@tin.it
329/6065488 & 0438 560141 Concert privé à Monaco le 15 mai 2013 à
18h00
Ce concert est privé et les entré
sont uniquement sur les invitations/Guest
List.
Concert à Bourg le Comte
le 16 mai à 20h30
Le Petit Moulin - 71110 Bourg le
Comte, France.
Renseignements et réservations : le
Canoë Renversant,
contact@lecanoerenversant.fr
06 24 33 48 51. Concert à Venise à la Fondation Giorgio Cini, le
19 juin à 19h00
Renseignements : Instituto
Interculturale di Studi Musicali
Comparati - Fondazione Giorgio Cini
onlus - Isola di San Giorgio
Maggiore - 30124, Venezia
Concert "Samvad" – Musique de l’Inde du Nord à Beaulieu
sur Mer, le 19 mai à 18h30 (entrée
libre). Chapelle Sancta Maria de
Olivo
Hommage à Pt. Ravi Shankar. Concert
de Partho Sarothy, disciple
principal de Pt. Ravi Shankar,
accompagné au Tabla par Nihar
Mehta.
Réservations et renseignements
concert :
Nihar Mehta : 06 26 52 48 14 -
saptakindia@yahoo.com
ou Office du Tourisme, Beaulieu sur
Mer Concert de musique classique d'Inde et exposition de
photos, le jeudi 30 mai à
la chapelle de Beaulieu sur Mer
à 20h00. Entrée libre (organisé par
la ville de Beaulieu s/mer &
l’association Saptak India)
Partho Sarothy - Sarod Nihar Mehta - Tabla Doté d'un tempérament artistique exceptionnel, exigeant la
précision technique et une rare
sensibilité esthétique, Partho
Sarothy est considéré comme l'un des
instrumentistes les plus attachants,
intelligents et talentueux dans la
musique contemporaine hindoustanis.
Ces qualités, qu'il exprime sur le
sarod avec une telle facilité lui
ont valu une réputation
internationale.
« Partho est l'un de mes disciples les plus éminents. Je suis
heureux de voir comment il s'est
transformé en l'un des meilleurs
joueurs de sarod d'aujourd'hui. Mes
bénédictions et bons vœux sont avec
lui pour atteindre de plus hauts
sommets. » - Ravi Shankar.
A voir aussi, l’exposition photo
"Transparences" par Roger Bella,
du 1er à 30 mai.
Renseignements exposition : Roger
Bella 06 61 75 68 05 -
Rpostmaster@roger-bella.eu
ou Office du Tourism, Beaulieu sur
Mer. Roger Bella est un photographe vivant et travaillant à
Nice. Portraitiste, il s’est
spécialisé dans la photographie
documentaire, avec l’Inde pour
terrain de prédilection. Son
travail, exposé en France mais aussi
en Suisse ou en Italie, a été primé
et publié, ce qui lui vaut d’être
maintenant invité dans des
manifestations présentant la culture
« Bharati », comme l'été dernier
lors du festival de musiques du
monde « les Escales » de Saint
Nazaire, ou en automne lors du
festival « Explorimage » de Nice,
dédiés à l’Inde.
« Maman et moi » est un des
thèmes préférés de Roger Bella .
Clins d'œil, moments de tendresse,
instantanés du quotidien ou des
jours de fête… il raconte les
petites histoires des mères,
accompagnées de leurs enfants,
rencontrées au Rajasthan au cours de
neuf séjours successifs.
L'exposition de Beaulieu-sur-Mer
sera "l'intégrale" de ce travail au
long cours dédié à toutes les
mamans, présentant une centaine
d'images grand format dans ce
magnifique écrin qu'est la Chapelle
Sancta Maria de Olivo.
Shiva-Rodin,création de théâtres dansés indiens d’après La Danse de Shiva
d’Auguste RODIN. représentation au Théâtre de la Reine Blanche, à Paris, le
24 mai (2bis, Passage Ruelle - 75018 Paris - 01 42 05 47 31) à 21 heures. En 1913, alors âgé de 73 ans et à l'apogée de sa célébrité,
Auguste RODIN rédige sur quelques pages des fragments poétiques, publiés après
sa mort en 1921 sous le titre La
Danse de Shiva. Le texte se fonde sur vingt cinq photographies
prises à Chennaï, de façon circulaire autour de la sculpture de bronze du
dieu SHIVA sous sa forme de Natarâja,« Roi des danseurs et des acteurs ».
Ces photos lui ont été offertes par Victor Goloubeff,
un archéologue amateur russe qui dirigeait, à l’époque, la revue Ars Asiatica
à Paris. Gouloubeff sollicite alors Rodin pour écrire un texte.
Imprégnée d'une Inde à la fois ancestrale et contemporaine, Katia
LEGERET-MANOCCHAYA présente une mise en scène de ces fragments poétiques
d'Auguste RODIN sur la base d'un travail de création initié dans 5 régions de
l'Inde.
C'est là que réside le caractère unique de cette création : la
réunion sur scène, à travers la vision du sculpteur et les images poétiques
qu'il décrit, de différents styles de théâtres et danses de l'Inde, dont le
Bharata-Natyam, le Kutiyattam et l'Odissi.
Représentant l'atelier du sculpteur avec ses modèles vivants, la
scénographie met en exergue un dialogue entre la vision de RODIN sur la danse et
la figure androgyne du SHIVA, qu'il érige à la fin de sa vie comme une source
d'inspiration de son art.
Le travail de transmission et de création a commencé avec plusieurs
maîtres indiens de ces styles à Delhi et dans 4 états indiens (Kerala, Tamil
Nadu, Karnataka, Orissa) avec l'interprétation scénique et la traduction du
texte de Rodin en plusieurs langues, qui sera récité, psalmodié et chanté sur
scène. Katia LEGERET-MANOCCHAYA a réuni en France des interprètes
acteurs-danseurs formés en Inde et ils seront accompagnés par le miravu,
percussion sacrée.
Pour présenter en amont ce spectacle, des conférences dansées sur
La danse de Shiva d'après Rodin sont programmées avec ces mêmes
artistes au Musée Rodin, le 17 octobre, de 10h à 17h :
www.musee-rodin.fr/fr/.../journees-detudes.
Sur
scène : Manochhaya-Katia
LégeretBharata-Natyam
Sanga /Thomas Vo Van Tao
:
Bharata-Natyam Laurence Lebail
Simon : Odissi Viviane Soto-Dardeau: Kutiyattam Philippe Tancelinrécitant Vincent Galletmiravu, percussions Chorégraphies : K.Muralidhar Rao, Manochhaya, Sujata Mohapatra,
Laurence Le Bail Simon, Kalamandalam Shylaja. Musiques (enregistrées) : K. Muralidhar Rao cymbales, L. Ramasesha chant
carnatique, A.V. Prakash flûte carnatique, A.P. Srinivas violon,
M.A.Krishnamurthy mridangam, Sujata Mohapatra cymbales, Jasahar
Misra flûte, Ekalabya Muduli mardal. Musiques enregistrées en Inde
pendant le processus de création.
Créations des costumes à partir des thèmes du sari traditionnel. Création
lumière :
Luigi d'Aria.
Entre Sonia, journaliste issue de la
classe urbaine aisée, et Leela, qui
n’a échappé à la prostitution qu’en
fuyant, à treize ans, sa bourgade
natale, la rencontre était plus
qu’improbable : c’est pourtant à la
construction de leur relation au
cœur des milieux interlopes de
Bombay, où se sont croisés leurs
destins, que nous convie ce
témoignage.
Alors que dans le cadre d’une
campagne de moralisation les
autorités du Maharashtra sont en
train de statuer sur la fermeture
des “dance bars” de Bombay, qui
emploient soixante-quinze mille
personnes, l’auteur pénètre un
univers infiniment plus diversifié
qu’on ne l’imagine, avec ses patrons
de bar pères de famille, ses
clients, souvent modestes,
ensorcelés par les danseuses, ses
caïds et leurs juvéniles hommes de
main promis à une fin prématurée.
Outre le portrait qu’elle brosse de
Leela,
Sonia Faleiro
invite à découvrir l’entourage de la
jeune femme : Apsara, son
inénarrable mère, Masti, la
transsexuelle, Barbie, amputée par
amour, Ameena, victime du sida, et
Priya, la complice, l’amie.
Avec ce passionnant document
davantage inspiré par l’affection
que par les exigences de la froide
enquête sociologique, Sonia Faleiro
propose, loin de tout voyeurisme,
une plongée en eaux troubles qui
fait la part belle au courage et à
l’humanité, et parfois même au rire.
Actes
Sud Littérature
Lettres indiennes
Avril, 2013/
11,5 x 21,7 / 304 pages -
traduit de l'anglais
par : Eric Auzoux
ISBN 978-2-330-01766-8
prix indicatif :
23,00€
L'association Neela Chandra
organise la troisième édition de son
festival, du 24 au 26 mai à
Bordeaux.
Le festival des arts indiens
vous propose cette année de vous
initier ou de vous perfectionner à
l’art d’être “spect’acteur ”
Spectateur d’abord avec un récital de danse Bharata Natyam
le vendredi 24 mai à 20h à
l’Institut Kadam Tcheuling.
Acteur aussi en participant aux stages de danse Bharata
Natyam, sitar, tablas, flûte,
atelier kolam, contes indiens.
Clôture du Festival : projection du film
La danse de Shiva
au Centre d’animation Bordeaux Sud.
Pour tout savoir, téléchargez le
dossier complet en pdf et
rendez-vous sur le site officiel du
festival :
indianartsfestival.free.fr
Genèse : La création de l
’Homme Semence émerge d’une
rencontre entre deux artistes
françaises basées en Inde depuis
plusieurs années. Anne Bressanges,
comédienne, et Nancy Boissel
Cormier, danseuse. Leurs chemins
se croisent à Chennai alors qu’el
les suivent toutes deux
l’enseignement du maître de Bharata-Natyam
Kalaimamani Kuttalam M.Selvam. Leur
volonté de travailler ensemble se
concrétise autour de la lecture de
l ’Homme Semence
qui apporte un témoignage historique
français à travers des sujets
universels qui touchent ou ont
touché tous les peuples : la guerre,
la crainte de l’extinction de
l’espèce humaine, le devoir de
reproduction, l’amour. El les
rencontrent Estelle Guihard
et sa collaboration pour la mise en
scène devient une évidence. Elles
travaillent toutes les trois en
résidence à l’Alliance Française de
Madras en septembre 2011. Benoît
Olivier, directeur de l’Alliance
leur offre cet espace pour la
création de la pièce et la première,
le 1er octobre 2011.
Michelin Inde, partenaire de
l’Alliance Française de Madras,
apporte son soutien au projet pour
permettre à l ’équipe de s’agrandir
: elle devient complète avec
Marie de la Bellière,
accessoiriste et régisseu, et
Sowri Rajan, musicien.
Résumé :
En 1852, un village des Basses-Alpes
est brutalement privé de tous ses
hommes par la répression qui suit le
soulèvement républicain contre le
coup d’état de Napoléon III. Deux
ans passent dans ce petit village où
les femmes sont condamnées à un
isolement total.
Elles font le serment que si un homme vient au village, il sera
leur mari commun afin que la vie
continue dans le ventre de chacune.
Les femmes avaient tout prévu, tout
organisé, sauf l’éventualité de
tomber amoureuse…
Cette histoire est le témoignage authentique et troublant de l’une
de ces femmes, Violette Ailhaud
(1835-1925). Elle écrit L’homme
Semence en 1919, à 84 ans, alors
que pour la seconde fois en 70 ans
le village vient de perdre tous ses
hommes. Violette Ailhaud remet son
manuscrit à un notaire en lui
précisant de le transmettre en 1952,
à l ’aînée de ses descendantes.
Yveline, 24 ans, hérite du texte en
juillet de cet te année là. Le texte
est publié dans la collection Main
de femme, aux éditions Parole.
L'Homme Semence sera présenté à
paris au Centre Mandapa (6
rue Wurtz 75013 Paris) les
24 mai et 4 juin mais également
à Digne-les-Bains, les 31 mai,
1er et 2 juin dans le cadre d'un
festival qui lui sera consacré par
les éditions parole. Plus de détails
sur cette page :
http://www.editions-parole.net/?p=1866.
Sufi Songs of Love est une compilation qui rassemble
six longues plages de chants spirituels d’inspiration soufie, comme
le titre l’indique. Si, à première vue, on relève une réelle
diversité, c’est finalement au contraire une certaine unité de ton
et surtout d’esprit qui est la principale caractéristique globale de
ce CD. La diversité est celle des origines géographiques, puisque à
côté de cinq morceaux indiens on découvre également un chant iranien
et même, en bonus, un dernier chant sacré, népalais celui-ci.
Diversité des lieux et époques d’enregistrement aussi : les trois
premiers morceaux sont de 1999, puis nous remontons le temps… 1979,
1955, tout en nous déplaçant de Bénarès à Srinagar puis à Téhéran.
Diversité des voix, des instrumentations : si l’harmonium domine
dans les trois premiers morceaux, à la structure typique du qawwalî,
le santour prend ensuite le relai avec son typique tintement
mélodieusement métallique ; quant au chant iranien, il est très
sobrement accompagné par une simple percussion… L’unité est quant à
elle perceptible dans ce souffle commun qui élève les chants vers le
divin, sur une voie sacrée vibrante de poésie, de simplicité et de
sincérité, oscillant entre peines et joies. L’amour évoqué dans le
titre du disque est avant tout mystique, transcendant. La première
chanson, « Lamhat akhiri mere », donne une tonalité un peu sombre :
un pauvre moribond voit avec sérénité venir la mort comme le mariage
suprême, l’union ultime à Dieu. Les morceaux suivants apporteront
progressivement leur dose de légèreté et de lumière…
Titre :Sufi
Songs of Love, from India and Iran Artiste : Artistes divers Code CD :
TEMPS FORTS DE L’INDE ouvre ses
portes sur la création INDANSE,
les 24 et 25 mai 2013 à 20 h
30 à Marseille par le
Ballet Indeurop’...
Danse Indo-contemporaine, Bharatanatyam et Bollywood, danseurs
indiens et occidentaux, une
rencontre à ne pas rater !
Contacts – réservations :
contact@arabesquesmudras.com
- 06 83 51 12 29 – 06 75 21 94 83.
CREATION INDEUROP'
Conception / Chorégraphie : PATRICK
GLEYSE Danseur-Chorégraphe Indo
Contemporain
Chorégraphie : NIRMALA GLEYSE
Danseuse-Chorégraphe de Tradition
Indienne.
Les 24 et 25 mai à 20h 30 - LES
BANCS PUBLICS - 10, rue Ricard -
13003 Marseille
DANSEURS INDIENS ET
OCCIDENTAUX... Des danseurs venus
de l’Inde formés par Patrick GLEYSE
lors de plusieurs résidences à
Chennai, Inde du sud, et des
danseurs de la Région
Provence-Alpes-Côte d’Azur, et
initiés par Nirmala GLEYSE à la
danse de tradition indienne…
Le titre de cette création INDANSE peut s'entendre "dans la danse",
en anglais, "Intense" dans notre
langage ou "Inde danse", ainsi le
fil conducteur sera toute
l'intensité vibrante et dansante de
la relation entre l'Occident et
l'Inde.
Les compositions chorégraphiques traditionnelles, modernes et
indo-contemporaine
de cette création, invitent à une
rencontre de différentes écritures
chorégraphiques ouvrant l’espace au
style de danse de la compagnie
Arabesques & Mudras …
Les danseurs issus d’horizons différents partagent la scène,
évoluant dans des pièces
chorégraphiques, qu’elles soient
colorées de l’Inde traditionnelle ou
de l’Occident moderne, on y découvre
le style de danse indeurop’ de la
compagnie Arabesques & Mudras.
Le style de danse Indeurop’ de la compagnie Arabesques & Mudras
s’est affirmé avec la création
INDANSE, une gestuelle nouvelle nous
fait découvrir une dimension de la
danse oscillant entre tradition et
innovation, une chorégraphie, qui,
au delà du mouvement, révèle
l’universalité de cet art.
Musique: Philip Glass with Ravi Shankar, Rahul Sharma, Paganini,
Sultan Khan, Mantras…
Création lumière : François Eric Valentin.
La
Compagnie Abhinayapropose son spectacle Princesse Sita, les
mercredis 22 et 29 mai à
14h30 et le jeudi 23 mai à 14 h au
Centre Mandapa, 6 rue Wurtz
75013 Paris (M° Glacière ou
Corvisard bus 62/21).
Réservation : 01 45 89 99 00
jp.mandapa@yahoo.fr.
Puis le mercredi 12 juin à 15h à la Médiathèque Louis
Pergaud 1 rue Louis Frebault -
94110 Arcueil. Réservations :
01 49 08 51 71 (M° Laplace RER B)
Extrait sur
http://www.youtube.com/watch?v=yBtrBe7WT0o
Ce spectacle est « tous publics a partir de 5 ans »,
réunissant conte, marionnettes du
théâtre d’ombre et danse Kathakali
pour vous faire découvrir la
fabuleuse épopée du Ramayana.
Il était une fois au pays des mille et une saveurs de l’Inde,
l’histoire fabuleuse de la princesse
Sita et du beau prince Rama chassés
du royaume par une méchante
belle-mère. Les deux amoureux vont
vivre dans la forêt, ils y feront de
nombreuses rencontres avec des êtres
fantastiques, du démon Ravana aux
pouvoirs surnaturels, au singe
surhumain Hanuman…
Une quête de liberté entre l’ombre
et la lumière.
Retour sur…
Les spectateurs ont dit : Très beau
spectacle les marionnettes sont
magnifiques, nous sommes transportés
dans la magie de l’Inde, la danse,
la musique
Tous les ingrédients sont là pour le
voyage, Bravo ! Continuez !
Marie Françoise Guérin, Sabrina et
Ryan.
Le festival Armor India (du 10 avril au 12 mai
2013) cette année a 7 ans, l’âge de
raison. Ce qui n’entame en rien son
enthousiasme !
Cette année encore, l’accent sera mis sur certaines mixités
culturelles, dans des spectacles
rares, innovants ou de création.
Riche d’un passé très présent,
l’Inde moderne en restera pourtant
le fil conducteur.
L’édition 2013 devrait se tenir autour de trois temps forts, trois
week-ends pendant lesquels on
découvrira des facettes de l’Inde
encore non abordées au cours des
éditions antérieures : instruments,
danseurs, musiciens, dans des
tonalités classiques, jazz ou
ethniques...
Cette septième saison veut provoquer des rencontres musicales
inattendues, mélanger les musiciens
bretons aux instrumentistes indiens,
illustrer de la musique baroque et
occidentale avec des pas de danse
barathanatyam, créer des duels de
sons et de rythmes jusqu’à faire
perdre tous les repères.
Comme à l’accoutumée, une exposition permanente sur l’art
contemporain indien se tiendra sur
le site historique de la Manufacture
de Morlaix, sans oublier rencontres,
conférences-débats, cours de
cuisine...
Et un accent particulier sur les films, puisque l’Inde fête cette
année le centenaire de son cinéma.
Il occupera une place importante
dans le festival, avec une dizaine
de films présentés dans plusieurs
villes de la région de Morlaix et du
Finistère, tant des grands
classiques que des films d’auteur et
des films récents ( coopération avec
le festival "Imagin’airs" , cinémas
"L’image" àPlougastel et "les
Studios"à Brest, du 2 au 9 avril) .
Contact : 02 98 62 45 75 -
contact@aadi-mx.org -
http://www.facebook.com/armorindia. Programme complet sur :
http://www.aadi-mx.org/spip.php?article80
Conférences du lundi
Fédération française de hatha yoga
Programme disponible sur
www.confinde.com
Le 13 mai 2013 à 18
h. 15
La notion de Samskâra
Lumières indiennes sur la vie
psychique
Lakshmi
Kapani
Professeur émérite de
philosophie indienne et comparée à
l'université Paris X-Nanterre
Au Centre André Malraux
78, bd Raspail / 112, rue de Rennes
- 75006 Paris
Métro : Rennes ou Saint-Placide
L'association
Saison Indienne à Toulouse, avec
l'appui de la Ville de Toulouse et
l'Ambassade de l'Inde en France,
propose en avril 2013 dans la Ville
Rose la première édition de son
festival pluridisciplinaire. La Nouvelle Revue de l'Inde, partenaire officiel de cette
manifestation, vous propose un
dossier complet,
avec interviews et premier aperçu de
la programmation.
Les
amoureux de culture indienne seront
gâtés à Puteaux (92) du 16
au 20 avril 2013, avec un
ensemble de manifestations de
qualité : projections, expositions
(avec notamment Kathleen Scarboro),
conférences, rencontres, concerts,
spectacles, animations.
Davantage de précisions sur
cette page.
Rohini Bannerjee : Appel à
contribution - No5 - Mai 2013 -
"Les espaces divers de la
Coolitude"
Les Cahiers du GRELCEF,
la revue électronique du Groupe
de recherche et d'études sur les
littératures et cultures de
l'espace francophone du
Département d'études françaises
de l'Université Western lance un
appel à contribution pour son
cinquième numéro consacré aux
espaces divers de la Coolitude,
numéro dont la parution est
prévue en mai 2013.
Si Khal Torabully, poète et
théoricien mauricien et français
du 20 e siècle, est à l’origine
du principe de la « coolitude »
dans la perspective de
l’expérience indienne de
l’histoire de la plantation dans
les anciennes colonies
européennes insulaires, c’est un
principe qui vise également et
plus généralement à formuler la
rencontre des cultures résultant
de cette histoire. S’il permet
ainsi de théoriser la
problématique identitaire
plurielle de la migration
indienne, il est aussi au cœur
de la problématique identitaire
insulaire et post-coloniale dont
rendent compte par exemple les
principes de l’antillanité, de
la créolité, ou du « Tout-monde
» de Glissant. En cela, c’est un
principe qui n’infirme pas
seulement le discours colonial,
mais qui propose en outre la
dynamique intrinsèque du fait
identitaire. C’est la pertinence
de cette portée plurielle du
principe dans la question
identitaire que le dossier
proposé vise à explorer, que ce
soit dans la pensée et la poésie
de Khal Torabully, ou
dans ses divers espaces,
esthétiques, théoriques,
discursifs, d’appréhension. Les
articles souhaités peuvent
aborder, sans s’y limiter, l’une
ou l’autre des pistes de
réflexions ci-après :
• La coolitude et l’œuvre de
Khal Torabully ;
• Les Indes ou l’ « Inde
plurielle », et le voyage et la
relation entre les altérités au
pays et à l'étranger ;
• L’engagisme comme fait
historique et source d’un
humanisme de la diversité ;
• La mer comme espace de
déconstruction/reconstruction
des imaginaires et des identités
;
• La poétisation du kala pani
comme une première en
littérature (à l’exemple de Cale
d'étoiles de Torabully) ;
• La coolitude comme espace de
mémoire : l’esclavage,
l’engagisme ou le
néo-prolétariat de l’immigration
;
• La question des langues : la
polyphonie, la métonymie et la
centralité du voyage océanique ;
• La coolitude comme espace de
dialogue entre l’engagisme et
l’esclavage ;
• La coolitude comme métaphore :
le corail, et non le rhizome, de
la connectivité agglutinante ;
• La coolitude comme discours
au-delà du principe du maître et
de l’esclave ;
• La coolitude comme « relation
» entre l’espace géographique et
le fait littéraire (Shivani
Gurunathan, Véronique Bragard,
etc.) ;
• La coolitude et ses « voix » :
V. S. Naipaul, Salman Rushdie,
Natasha Appanah, Amal Sewtohul,
Ananda Devi, Amitav Ghosh,
Raphael Confiant, Maryse Condé,
J.M.G. Le Clézio, etc. ;
• La coolitude et ses filiations
: la créolité, la créolisation,
ou les imaginaires de la
relation ;
• La coolitude et le discours
matriciel : la mère et l’espace
d’origine ;
• La coolitude et le principe de
la mondialisation ;
• La coolitude dans la
perspective théorique : sa
portée herméneutique, son
rapport à la théorie
postcoloniale, etc.
Les articles proposés, d’une longueur de 4000 à 7000 mots et
accompagnés des coordonnées et affiliation institutionnelle (s’il y a lieu) des
auteur.e.s, ainsi que d’une notice bio-bibliographique d’environ 100 mots,
doivent parvenir à l’adresse électronique suivante au plus tard le 15 février
2013 :
cgrelcef@uwo.ca
.Les articles proposés doivent
suivre également le protocole de rédaction des Cahiers du GRELCEF, disponible
ici. Tous les articles
reçus feront l'objet d'une évaluation anonyme par un comité de lecture. .
Conférences du lundi
Fédération française de hatha yoga
Programme disponible sur
www.confinde.com
Le 8 avril 2013 à 18
h. 15
avec projection
Les villes du Dekkan
Urbanisme et
symbolisme de 1 200 à 1 800
Klaus Rötzer
Chercheur résidant en
Inde
Le
Dekkan est une région de l’Inde qui
se situe entre le fleuve Narmada et
l’Inde du Sud. C’est la région du
coton que l’on exporte depuis
l’Antiquité. Klaus
Rötzer nous parlera notamment de
l’époque médiévale et des mouvements
qui se sont opposés au brahmanisme
et à l’arrivée des Turcs dans le
sous-continent. Les Turcs sont
porteurs de techniques et visions
nouvelles. La conférence portera
d’abord sur les plans des capitales
du Dekkan, en essayant d’en saisir
le symbolisme. Ensuite on cherchera
à découvrir le sens des formes
architecturales en relation avec une
propagande ou un programme
politique. Cette recherche ne repose
pas sur des textes sanskrits ou
persans, mais sur des études suivies
de sites et monuments d’architecture
dans leur contexte géologique,
géographique et culturel.
Au Centre André Malraux
78, bd Raspail / 112, rue de Rennes
- 75006 Paris
Métro : Rennes ou Saint-Placide
Le Mée-sur-Seine
(77) propose la sixième édition de
son festival indien, les 6 et 7 avril
2013 de 10h à 19h, au 800, avenue de
l'Europe.
Le programme, dense, rassemble de nombreux spectacles (danse Odissi
avec Srinwanti Chakrabarti, danse
Bollywood, danse Bhangra),
démonstrations de Kalaripayatt, une
exposition, un défilé de mode ainsi
que des conférences.
Pour plus d'informations :
www.cc-fi.org/festival.php.
"Avec un dynamisme sans cesse renouvelé, le Cercle Culturel
Franco Indien vous présente la 6ème
édition du Festival de l’Inde. Tout
au long du week-end, vous ferez un
parcours complet à travers la
culture indienne. Vous admirerez les
spectacles de danse Bollywood et
Bharatanatyam, d’art martial et de
musique. Vous dégusterez la
gastronomie des différentes régions
de l’Inde. Vous parcourrez les
stands à la rencontre des artisans
qui vous proposerons des bijoux, des
vêtements, des sculptures et
peintures, des mandalas… Vous
rejoindrez le Club de Carrom du Mée
sur Seine pour des parties de
billard indien envoûtantes.
Pour les plus curieux d’entre vous, vous participerez aux
conférences sur les thèmes aussi
variés que « le yoga du service et
le yoga des énergies », « L’inde,
une grande puissance », « la femme
en Inde »…
Vous poursuivrez votre découverte de ce grand pays en rapportant
chez vous quelques ouvrages de
littérature indienne.
Tout un programme qui vous permettra de mieux connaître ce grand
pays riche de ses traditions et de
son envie de modernité.
Cette année, l’Association a aussi souhaité valoriser son
partenariat local en proposant la
projection de films indiens en
présence des réalisateurs. Une
exposition de photos sur le voyage
en Inde 2012 de Delhi à Jaiselmer
réalisée par les participants vous
sera présentée et permettra de mieux
connaître le projet d’orphelinat que
soutient le Cercle Culturel Franco
Indien depuis plusieurs années. LE MEE SUR SEINE 77350 - Samedi 6 et dimanche 7 avril 2013 de
10h 00 à 19h00 - Salle du Mas –
entrée gratuite 06 14 83 07 34
www.cc-fi.org.
Les bénéfices de ce salon sont
reversés pour la construction de
l’orphelinat à Chennai."
La compagnie les Perles de
Jaffna propose son nouveau
spectacle de danse Bollywood, le
samedi 30 mars, 20 heures, à
Portet-sur-Garonne, près de
Toulouse, à la salle du Confluent.
Réservations au 06 78 21 92 50.
Auparavant, le 1er mars, les Perles se seront produites le 1er
mars à l'occasion d'un spectacle
organisé par Amedischool. Plus
d'informations sur la
page facebook...
Armelle Choquard,
grande danseuse de Bharata Natyam
que nous avons déjà eu le plaisir de
rencontrer (revoir son
interview),
propose au Centre
Mandapa,
à Paris, son récital Sangama rescòntre...
ou l'art de mêler danse classique
indienne et inspiration
occitano-provençale. Le récital sera
donné le 28 mars,
à 20h30, au 6 rue Wurtz, Paris XIIIe
arrondissement.
Olivier Berlion
(dessinateur, scénariste) et les éditions Dargaud nous
proposent une nouvelle enquête policière au goût curry :
Bollywood Connection... "Ce 6e épisode des aventures de Tony Corso s'ouvre dans le sud
de la France : Racheed Khan, une star de Bollywood, y tourne un film
financé par un émir de Dubai plein aux as. Le casting semble
d'autant plus foireux que la mafia indienne ne voit pas d'un bon œil
qu'une star bollywoodienne prenne ses distances avec une industrie
particulièrement juteuse... Coraii Shakeer, un parrain de la mafia
de Bombay, décide d'utiliser l'attaché de presse – criblé de dettes
– de Racheed pour faire chanter cette brebis qui s'est écartée du
troupeau. Seule solution : faire appel à un détective qui saura
régler ce « problème » : ça tombe bien, Tony est disponible..."
Davantage d'informations et achat sur :
Tony Corso tome 6.
"Comme
sa voisine la Chine, l’Inde est aujourd’hui l’une des « nouvelles
frontières » qui constituent l’horizon du XXIe siècle. En perpétuel
bouleversement depuis plusieurs décennies, et enfin en mesure de
faire émerger son immense population du sous-développement, ce pays
gigantesque demeure une inépuisable source de surprises, où se
côtoient croissance spectaculaire et traditions
millénaires, innovations méconnues et mœurs fascinantes."
Fruit du travail de deux journalistes, Tirthankar Chanda et
Olivier Da Lage, ce bel ouvrage, bref mais à visée
encyclopédique, abondamment illustré, qui vise en priorité un jeune
public, s'avèrera également utile à l'adulte désireux d'avoir un
premier panorama de ce qu'est l'Inde actuelle. La radio RFI et
Casterman se sont associés pour cette publication de référence.
ISBN : 2203048514.
Le Conseil Européen des Hindous (CEH),
créé récemment, entend défendre la
tradition védique, et propose une
pétition en ligne pour sauver la
tradition du chant védique en
particulier.
"La protection de notre patrimoine culturel et de nos traditions
est essentielle, de l’ ECH-CEH en
fait une priorité et son objectif
principal.
Nous demandons un soutien tout
particulier à l’ensemble de la
communauté indienne d’Europe et à
tous les citoyens européens qui
souhaiteraient soutenir ce projet
culturel, de bien vouloir se
mobiliser et signer la pétition. « Sauvons la Tradition du Chant Védique »
Inscrit par l’UNESCO en 2008 sur la
liste représentative du Patrimoine
Culturel Immatériel de l’Humanité
(originellement proclamé en 2003).
Nous devons atteindre 5000
signatures pour lancer le processus
de partenariat entre le «Ministère
Français de la Culture et de la
Communication » et “l’Unesco ».
Cette demande concerne la création
d’une structure officielle, et sera
nommée « l’Institut Européen de la
Tradition Védique »".
Pour accéder à la pétition en ligne
et la signer, allez sur
cette page.
Les TEMPS FORTS DE L’INDE se
poursuivent dans la région PACA, à
Puyricard,
avec le spectacle SUR LES PAS DE
L’INDE, danse Bharatanatyam et
Indo-contemporaine,
accompagnée par des poésies de la
tradition hindoue... Le spectacle
Sur les pas de
l'Inde
est proposé par
Nirmala et Patrick Gleyse
(danseurs) et le narrateur Yannick Leclerc,
le samedi 23 mars
à 20h30, salle de la Touloubre.
Davantage d'informations sur
www.arabesquesmudras.com.
Le Musée de la Compagnie des Indes à
Lorient
(56) propose une exposition
exceptionnelle de l'artiste
contemporain indien Akhilesh.L'exposition, intitulée
L'Harmonie invisible du visible se
tiendra du
1er mars au 14 avril
à la Galerie du Faouëdic, boulevard
du Général Leclerc. L'accès au
public est gratuit, du mercredi au
dimanche, de 14h à 19h.
Renseignements au 02 97 02 22 57.
Trois manifestations à noter en
région toulousaine, appuyées par La Porte de l'Inde. Le 10 mars,
une célébration de la Journée Internationale des femmes à la
Salle Lafourguette : spectacle et animations, exposition de
portraits de femmes du Rajasthan, etc.. Le 16 mars, à
Fontenilles (banlieue toulousaine), le festival Musique du Monde
est dédié à l'Inde.
Enfin le 23 mars, c'est la
fête printanière des couleurs, Holi, qui sera célébrée à la Salle
Lafourguette, de 15h à 23h, avec danse, exposition, ateliers,
histoire de Holi par Sarah Combe, et une élection de Miss India
Midi-Pyrénées...
Vous pouvez télécharger le
programme complet du Centre, au format pdf.
Editorial : A
l’image des décorations de la devanture, miroir de notre
pluralité culturelle, la saison 2012-2013 propose comme chaque
année depuis 1975, un large panel de spectacles.
Outre ses 44 soirées de musiques et danses du
monde, le 27è Festival de Contes d’Hiver Narrations
en Musique
(35 soirées) est particulièrement riche de participations
nouvelles et de créations : la Cendrillon Tibétaine de Françoise
Barret, la Grand-Mère Lakota avec Khadija El Mahdi, l’épopée
mandingue d’Esther Marty-Kouyaté, le conte tibétain de Catherine
Zarcate, les évocations amazoniennes de Cucha Del Aguila et les
contes des Mayas d’Adamante, les 7 merveilles de Muriel Bloch,
et combien d’autres !
Parallèlement et plus particulièrement destinés au
jeune public, 18 spectacles éducatifs et divertissants sont
proposés aux écoles et centres de loisirs pour éveiller l’écoute
et l’imaginaire (la
plaquette Jeune Public est à demander).
Tremplin pour beaucoup d’artistes, le Mandapa
accueillera pour la première fois le Trio Sarasvati
(sino-mongol!), le Trio sépharade Bärbel Repetto et d’autres
formations exceptionnelles de passage : l’Ensemble géorgien
Gordela, l’Ensemble Irshad Ali Kawa (Kawwali du Pakistan), le
Trio Nostoc (musiques métissées), et le chanteur de tango
argentin Juan Ramos et son orchestre dans le cadre des 96 Heuresde
Concerts Télérama.
De nouveaux ateliers sont également proposés :
théâtre pour ados, disciplines chinoises complémentaires à la
danse, et la venue spéciale du Maître Jaikishan Maharaj de New
Delhi.
Des rencontres s’instaurent grâce à des
partenariats associatifs : Kaléidans’Scop pour la danse, le
Festival OBOE Franco/Italien (concert de Didier Malherbe à ne
pas manquer !), et l’Association Pantcha Indra pour l’accueil du
Wayang Kulit et gamelan indonésiens en avril 2013 (un autre
événement!).
Du tango argentin au kawwali, du Soudan à la
Mongolie, de la transmission orale à la restitution scénique, le
Centre Mandapa parviendra-t-il à épuiser le patrimoine
artistique (non exhaustif...) de notre planète ?
Conférences du lundi
Fédération française de hatha yoga
Le 18 mars 2013 à 18
h. 15
avec projection
Le temple de Shiva
une expression de la théologie ?
Dominic Goodall
Sanskritiste,
directeur d'études à l'École
française d'Extrême-Orient
Au Centre André Malraux
78, bd Raspail / 112, rue de Rennes
- 75006 Paris
Métro : Rennes ou Saint-Placide
L'association Laxmi France
organise la seizième édition de son festival de l'Inde à Casseneuil
dans le Lot-et-Garonne, les 23 et 24 février. « Pour
cette 16ème édition du Festival de l’Inde à Casseneuil,
l’Association Laxmi vous gâte encore avec un programme alléchant si
vous désirez découvrir ou parfaire votre connaissance de l’Inde et
de ses différentes formes d’arts et traditions.
Au programme, il y aura du théâtre, la découverte du Kalari Payat
(art de combat Indien), du chant, de la musique et de la danse,
toujours avec des intervenants réputés et ayant acquis une grande
maitrise de leur art au fil du temps.
Cette année le Festival sera ouvert une journée de plus aux
écoles et collèges, maisons de retraites, centres aérés et aux
centres socio-éducatifs, soit le mercredi, jeudi et vendredi, avec
des spectacles adaptés ainsi que des animations spécifiques.
Dès le vendredi soir et durant le week-end, des spectacles, conférences
et ateliers de qualité vous seront proposés : Yoga, Mandala, cuisine
indienne, Kalari Payat, percussions indiennes, danse traditionnelle,
ayurvéda, et chacun pourra en apprendre un peu plus sur l’Inde et sa
culture. Un stand d’artisanat Indien (bijoux et habillement) au
profit de l’Association Laxmi est également présent sur le site.
La restauration sera assurée sur place tout au long de la journée
avec des produits typiquement Indiens et des repas bio et
végétariens deux fois par jour.
Vous pourrez également vous renseigner à propos des actions que
notre association effectue en Inde depuis le début des années 90 :
parrainage des écoles, aide à la scolarisation et programme de
nutrition pour les enfants dans deux régions de l’Inde. Des
bénévoles seront présents pour vous donner des renseignements et
vous pourrez voir notre exposition de photos prises durant les
voyages d’adhérents en Inde du Nord et du Sud. » Accès libre au site du Festival
Soirée spectacle du vendredi 20h : 12€ - 8€ pour les -12 ans
Spectacle samedi après-midi : 10€ - 8€ pour les -12 ans
Soirée spectacle du samedi 20h30 : 20€ - 14€ pour les -12 ans
Après-midi spectacle du dimanche 14h : 20€ - 14€ pour les -12 ans
Ateliers cuisine, yoga, mandala, conférence sur l’ayurveda : 5€
Stage de danse : 10€
ASSOCIATION LAXMI
5, rue Pablo Picasso - 47300
Villeneuve sur Lot
téléphone : 05 53 70 45 30 ou 06 12
21 71 14
Courriel :
laxmifrance@gmail.com -
www.laxmifrance.fr
Les éditions Aux Forges de Vulcain
proposent, en ce début 2013, un roman inédit en France de l'auteur
bengali Amit Chaudhuri, Les Immortels, traduit
de l'anglais par Simone Manceau.
Né en 1962, à Calcutta, Amit Chaudhuri est l’un des
principaux romanciers indiens d’aujourd’hui. Il est également un
musicien reconnu. Dans le Bombay des années quatre-vingt, une commune passion
pour la musique rapproche deux familles de milieux différents.
Shyamji, le fils d’un grand chanteur classique, donne des leçons de
chant à Mallika, l’épouse d’un dirigeant d’entreprise, Apurva
Sengupta, ainsi qu’à leur fils, Nirmalya. Les influences réciproques
qui se tissent entre ces personnages au long des années permettent à
Amit Chaudhuri de dresser un tableau évocateur et subtil d’une
société indienne en pleine évolution, partagée entre le respect de
la tradition et les attraits de la modernité.
Davantage d'informations sur le site des éditions Aux Forges de
Vulcain :
www.auxforgesdevulcain.fr.
* Du 2 au 19 janvier : de 14h30 à
18h (sauf dimanche) au siège social,
exposition de kolams (dessins
éphémères réalisés par les femmes
sur le seuil de leur maison en Inde
du Sud). Entrée libre.
* Le samedi 12 janvier 2013 : de 15h
à 20h, à la Maison de l’Inde, 7 bd
Jourdan, Paris 14ème, Fête du Pongal
- Nouvel An Tamoul. Nombreuses
animations : danse, musique, arts
martiaux. Tombola (2 € le ticket).
Nombreux lots. Distribution du riz
Pongal. PAF : adultes et + 10 ans:
6 € ; - 10 ans : gratuit.
* Du 26 janvier au 15 février 2013 :
l’Association organise son Voyage
des Cinq Comptoirs, dans les cinq
anciens établissements français des
Indes et les Temples et Palais du
Sud de l’Inde.
* Le vendredi 1er février : à 19h,
présentation – dédicace du livre de
Marcel Fortini et Jérôme Camilly,
« Le promeneur de Pondichery », aux
Editions Trans Photographic Press.
Entrée libre.
* Le samedi 23 février : à 15h au
siège social, Assemblée Générale
Ordinaire : rapport d’activité,
comptes 2012, budget 2013, 3e salon
« L’Inde des Livres ».
* Du 2 au 16 mars : de 14h30 à 18h
(sauf dimanche) au siège social,
exposition de photographies « Au
bord du fleuve sacré, Bénarès » par
Jean-François Fort. Vernissage le
vendredi 1er mars à 19h. Entrée
libre.
N’oubliez pas les 6 et 7 avril le
Festival de l’Inde à Le Mée-sur-Seine
(près de Melun). L’Association aura
un stand avec une présentation de
nombreux documents sur l’Inde. Deux
conférences seront tenues par
Douglas Gressieux :
- le samedi 6 avril à 15h, « La
femme en Inde »
- le dimanche 7 avril à 15h,
« L’Inde, grande puissance »
La 2ème édition du Salon l’Inde des
Livres a réuni environ 2000
visiteurs. La 3ème édition se
tiendra les 16 et 17 novembre 2013.
Cours au Siège Social (adhésion à
l’Association obligatoire au 01 46
59 02 12):
Le Centre Culturel et
de Documentation est ouvert les
lundi, mercredi et vendredi de 14h30
à 18h. Les adhérents peuvent
emprunter des ouvrages contre un
dépôt de 37 €, rendu à la
restitution de l’ouvrage.
Pensez à renouveler votre
cotisation : Etudiant : 25 €,
Individuel et Famille :
37 €.
PONGAL 2013 : N’oubliez pas
d’acheter vos billets de tombola.
Nombreux lots. 1er prix : un
lecteur de DVD.
Commandes d’ouvrages édités par l’Association
- « Les Comptoirs de l’Inde » :
album de photos, cartes postales et
documents inédits réalisé pour le
cinquantenaire du Transfert des
Comptoirs (1954/2004) 21 €
- « Les Actes du Colloque »
organisés par l’Association le 23
octobre 2004 au Sénat, à l’occasion
du cinquantenaire du Transfert des
Comptoirs, 23 €
- « Les Troupes Indiennes en
France : 1914-1918 » : 23 €
Frais de port : 5 € par ouvrage
Le samedi 9 février, à 19 heures à Duval, Petit-Canal,
en Guadeloupe, un maître de la tradition du théâtre dansé
traditionnel et populaire tamoul, le nadron, perpétué
dans l'île depuis le XIXe siècle, période de l'engagisme, se
produira dans une représentation de l'histoire de Madurai Virin (Malde
Vilin), héros de Madurai, la grande cité historique du Tamil Nadu.
ce maître, c'est André Périanayagom, octogénaire et véritable
mémoire vivante. L'occasion d'un chaleureux hommage !
En partenariat avec les éditions
Actes Sud
Concours
terminé
Variations sur le thème
de la famille dans tous ses états,
dix nouvelles qui brossent un
portrait de la conjugalité et des
rapports intergénérationnels dans un
milieu social déchiré entre
nécessités économiques et
aspirations moins matérialistes. Par la grande dame des lettres
bengalies, Mahasweta Devi,
qui compte aujourd'hui parmi les
auteurs les plus lus en Inde et
jouit d'une notoriété
internationale.
Quatrième de couverture :
Centrée sur un personnage féminin
affrontant en combat singulier le
sort et ses caprices, chacune des
nouvelles qui composent ce recueil
met en scène le courage et
l'ingéniosité de mères, d'épouses ou
de filles contraintes d'élaborer des
stratégies de survie face à
l'inexorable roue du destin que
symbolise le gigantesque char depuis
lequel, lors de célèbres cérémonies
religieuses, Jagannath, le "Seigneur
de l'Univers", contemple le
dérisoire monde des hommes...
D'origine tribale ou rurale, issues
des bas-fonds ou des beaux
quartiers, luttant pour sauver leurs
enfants de la maladie ou pour les
arracher aux griffes de trafiquants,
confrontées au conflit des
générations ou au snobisme
dévastateur de leurs contemporains,
allant jusqu'à recourir, s'il le
faut, à des pratiques magiques ou à
nouer commerce avec les divinités,
ces femmes remarquables,
aventurières de leur propre
existence trop souvent opprimée,
sont autant d'incarnations de la
diversité d'une condition féminine
pour la reconnaissance de laquelle
Mahasweta Devi n'a, dans sa vie
comme dans son oeuvre, jamais cessé
de se battre.
L’auteure :
Mahasweta Devi est l’auteur de
nombreux romans et de plus de trois
mille nouvelles, dont une partie
seulement a été traduite. Actes Sud a déjà
publiéLa Mère du 1084(2001 ; Babel n° 997), Indiennes(2004 ; Babel n° 1142) etLe Char de Jagannath et autres
nouvelles(2012).
Le Char de Jagannath et autres
nouvelles De
Mahasweta Devi
Actes Sud Littérature Lettres
indiennes
Novembre, 2012 / 11,5 x 21,7 / 240
pages
traduit du bengali par : Claude BASU
ISBN 978-2-330-01273-1
prix indicatif : 22,00€
Conférences du lundi
Fédération française de hatha yoga
Le 11 février 2013 à
18 h. 15
avec projection
Le prince et le sage dans la
peinture moghole Amina Taha-Hussein
Okada
Conservateur en chef
au musée Guimet
Au Centre André Malraux
78, bd Raspail / 112, rue de Rennes
- 75006 Paris
Métro : Rennes ou Saint-Placide
Parva raconte le Mahâbhârata,
l'épopée indienne qui décrit la
lutte familiale entre les Pandavas
et les Kauravas ; les exploits des
Dieux et des Hommes ; le rôle des
Femmes dans la vie, la mort et la
guerre ; le Karma…
Dès les premières pages de cet opus (L’éveil de l’Océan, 1er
tome sur 3 prévus), le lecteur est
entrainé par la force des images et
la gravité du ton.
Le poids de l’Histoire, la domination des lois de la Nature,
l’essence éphémère des Hommes sont
rassemblés dans cette œuvre moderne
aux couleurs des temples hindous où
la douceur de l’aquarelle contraste
avec les noirs et blancs et la force
de l’histoire, pour mettre en
évidence la dualité des choses et
des êtres.
L’humour détaché de l’auteur fait l’originalité de ce roman
graphique qui assume un univers
sombre et mystique pour raconter la
vie. Car qu’est-ce que le Mahâbhârata
sinon un traité de la nature
humaine ?
Cette version s’inscrit dans la tradition millénaire des conteurs
indiens, avec une oralité exacerbée,
une force émotionnelle et
philosophique indéniable. Elle remet
au goût du jour ce classique de la
mythologie hindoue, considéré comme
le plus grand poème jamais composé.
Parva nous fait voyager par-delà les mers et par-delà les
siècles, dans une épopée romanesque
qui peut être appréciée à tout âge.
Amruta Patil est née en Inde et vit à New Delhi.
Diplômée de la School of Museum of
Fine Art à Boston, passionnée
d'histoire ancienne, elle travaille
actuellement à un roman graphique
mythico-historique de 1000 pages
basé sur le Mahâbhârata,
Parva, et qui relate l’histoire
de l’Inde sur cinq mille ans.
Kari, premier tome d’une
trilogie, est son premier roman
graphique : elle s’impose comme la
nouvelle voix – et la première voix
féminine indienne – du genre en
Inde.
Editions
Au Diable Vauvert -
Support Livre broché - Nb de
pages 280 p. (2012) -
ISBN-10 2-84626-430-9 -
ISBN-13 978-2-84626-430-3 - GTIN13
(EAN13) 9782846264303.
Journée de
rencontre poétique :
La Réunion - Inde,
organisée par l’Association des
Amis d’Auguste Lacaussade,
la Mairie et le collège de
Salazie
en collaboration avec l’Organization
for Diaspora Initiatives.
Samedi 9 février 2013
au Collège Auguste Lacaussade de Mare à Citrons (Salazie).
Programme :
7 h 15 :
Recueillement sur la tombe du
poète Auguste Lacaussade au
cimetière d’Hell Bourg. Rappel
du bengali.
7 h 45 :
Accueil au collège de Mare à
Citrons 8
h :
Bal tamoul par ODI 8 h 30 :
Animation poétique par le GAPS
et les élèves du collège 8 h 50 :
Pause 9 h : Mot
de M. le Principal du Collège.
Mot de M.
le Président de l’AAAL.
Mot de M. le Maire de Salazie.
Mot de Mme la Consule de l’Inde 9 h 20 : AntoinePitchaya,
(Professeur),Savitri,
poème philosophique de Sri
Aurobindo. 9 h 50 : Idriss
Issop Banian (poète), Leconte de
Lisle et l’Inde 10 h 20 : Débat 10 h 40 :
Pradip Choudhuri (Calcutta,
poète),«Faites
de Votre Vie Un Poème»
11 h
10 :
Félix Marimoutou (PRAG,
Université de La Réunion) et
Frédérique Hélias (Docteur en
Littérature), L’écriture de la
poésie malbar à La Réunion 11 h 40 :
Débat 12 h :Deva
Koumarane,(Professeur), « Tagore
: poète de l'universel
réconcilié ». 12 h 30 : Lapoétique
d’Agnès Guéneau (La Réunion)
13 h :
Débat 14 h 30 :Hutchamah
Adinarain,Le
poète Vemana 15 h :La
poétique de Pascale Sihou-Oviode(Professeur,
poète, La Réunion) 15 h 30 :
Débat 15 h 50 :Dana
Lutchmee Chemen (Professeur de
tamoul),'L'esclavage
moderne' 16 h 20 :
Reshmi D. Ramdhony, (Docteure
en littérature hindi,
Professeure de langue et de
littérature hindi, directrice
des études indiennes à l’
lnstitut Mahatma Gandhi),"La
poésie moderne indienne en
langue hindi et le cas du poète
Agney » 16 h 50 :La
poétique de Gilbert Pounia(poète,
La Réunion)
17 h 20 :
Débat 17 h 40 : Animation
par un groupe de danse indienne
La
Mer... de Mani Ratnam... L'événement
cinématographique du moment !
Pour la première fois, Aanna
Films nous propose un film de l'un des
maîtres incontestés du cinéma tamoul, et du
cinéma indien en général, le grand Mani
Ratnam (Roja,Bombay,
Guru, Raavan...). Kadalsera projeté en salle en France à partir
du 1er février. La musique est de
l'incontournable A. R. Rahman.
"Kadal veut dire La Mer. Les sens sont multiples. La mer représente
une ouverture vers le monde. Pour les
pêcheurs, c'est leur lieu de travail, leur
source de revenus, ou encore la mère
nourricière. Pour les victimes de la guerre
civile au Sri Lanka, la mer a été "une issue
de secours", la mère sauveuse. Bref, une
fois ce décor planté, le maitre met ses
ingrédients : ses personnages. La sortie
mondiale ne se faisant que le 1er février,
une chose est sûre, le plat sera
bouillonnant !"
Programmation, à
partir du 1er février 2013 :
- Gaumont Saint-Denis : en attente des
horaires
- Pathé Quai Ivry
2 fév : 19h
3 fév : 15h
- Gaumont Disney Village
2 fév : 15h
3 fév : 15h
- Pathé Conflans
3 fév : 15h
- Gaumont Carré Sénart : en attentes des
horaires
- Pathé Vaise Lyon
2 fév : 17h10 (DAVID)
3 fév : 17h10 (KADAL)
- Gaumont Wilson : en attente des horaires
- Gaumont Talence : en attente des horaires
- Pathé Nice : en attente des horaires
- Le Méliès Grenoble : 22 février 2013
- Pathé Montataire : week-end du 9 février
- Pathé Brumath : week-end du 9 février
- Gaumont Amiens : week-end du 9 février
- Gaumont Nantes : week-end du 9 février.
Nous avons suivi
Rashmi Kant depuis la sortie de
son single "Fils de l'Himalaya", qui a su séduire quantité
d'auditeurs. Il y a quelque temps venait le tour du second single,
"Vers une autre fortune"... L'album intégral sort en janvier 2013,
et cette sortie est à ne surtout pas manquer. A cette occasion,
l'artiste donnera deux
concerts à Paris : le 30
janvier au Sentier des halles à 20h30, et le 1er février
à la Péniche Antipode à 21 heures.
Les places sont en vente sur
http://www.fnacspectacles.com/place-spectacle/manifestation/Pop-rock-Folk-RASHMI-KANT-SH30J.htm
et
au 0 892 68 36 22 (0.34eur/min).
Ne manquez pas le site de Rashmi Kant :
rashmikant.fr.
Depuis le XVe siècle, des hommes et des femmes vivant dans le désert
du Thar au Rajasthan, en Inde, sont prêts à donner leur vie pour
protéger les animaux sauvages et les arbres avec lesquels ils vivent
en symbiose jusqu’à les considérer comme des membres de leur
famille. Reconnus comme les premiers écologistes du monde, les
Bishnoïs - les 29 en langue locale - suivent les 29 règles
établies par leur prophète, Jambheswhar, suite à une vision
apocalyptique en 1485, où l’Homme méprisait l’environnement et
creusait sa propre tombe.
De nombreux individus, issus de plusieurs castes, ont adhéré à
l’époque à ce mouvement spirituel. Aujourd’hui, plus de 600 000
Bishnoïs se battent pour préserver la nature et la vie sauvage du
désert du Thar.
Davantage d'informations sur le site de l'auteur, le
photojournaliste Franck Vogel :
www.franckvogel.com.
Jeu-concours en partenariat avec
INEDIT :
gagnez le CD
Le Chant du Mohini Attam
Concours terminé
Le mohini attam (la
"danse de l'enchanteresse" en
référence à un mythe du dieu
Vishnou) est la danse classique de
l'État du Kerala au sud de l'Inde.
Cette danse de femme connut son âge
d'or sous le règne du Maharajah
Svati Tirunal (1813-1847) qui
composa une grande partie du
répertoire. Le mohini attam relève du style lasya fait de
mouvements circulaires, de courbes
et de spirales sur un tempo lent ou
modéré qui rappellent la nature
keralaise : le balancement des
palmes, l'ondulation des rizières et
le cycle perpétuel des vagues... Les
sentiments y tiennent une place
centrale et la musique concourt à
leur expression.
La musique du mohini
attam se décline en deux styles
traditionnels : le style carnatique
classique de l'Inde du Sud, aux
infinies variations, et le style
sopana, propre au Kerala, plus sobre
et épuré. Le chanteur, accompagné
par une flûte, une vina et des
percussions, interprète des poèmes
dédiés aux amours de Krishna, en
malayalam et en manipravalam, les
deux langues du Kerala, mais aussi
en sanskrit et en hindi, ou bien il
chante des pièces virtuoses sur les
noms des notes de l'échelle musicale
indienne.
Cet album, 145e album de la collectionINEDIT
présente les principaux ingrédients
d'un récital de danse. Les
compositions du Maharajah Svati
Tirunal, emblématiques par leur
facture, leur thématique et leur
popularité chez les amateurs,
illustrent la richesse et la
diversité de la musique du mohini
attam.
La collectionINEDITs'attache
depuis 1985 à promouvoir des
traditions musicales menacées ou
méconnues et des artistes soucieux
de défendre leur culture. Ce souci
de qualité artistique et
d'authenticité a valu à la
collectionINEDITplus
de 190 récompenses. Les notices qui
accompagnent chaque CD sont rédigées
en français et en anglais par des
ethnomusicologues ou des
anthropologues et comprennent
également les traductions des textes
chantés et des photographies.INEDITpropose
ainsi un témoignage de ce que les
cultures du monde ont de meilleur à
offrir dans le domaine des musiques
de tradition savante et populaire.
Conférences du lundi
Fédération française de hatha yoga Le 14 janvier 2013 à 18 h. 15
avec projection Termez, berceau de l'empire
Kushân
Par Pierre Leriche
Directeur de recherche au CNRS
"C'est à l'époque Kushân que la
ville de Termez atteint son plein
épanouissement et devient le centre
politique, économique et culturel de
la Bactriane au nord de l'Oxus
(aujourd'hui l'Amou Daria). La
Bactriane faisait partie de la
communauté culturelle hellénistique
qui comprenait le monde
méditerranéen, le Proche-Orient et
l'Asie centrale jusqu'à l'Inde. Sous
Kanishka (fin du Ier, début du IIe
siècle de notre ère), l'empire
Kushân englobe la partie méridionale
de l'Ouzbékistan et du Tadjikistan,
l'Afghanistan, le Pakistan et une
partie importante de l'Inde
actuelle".
Le 28 janvier à 18 h. 15
avec projection L'actualité des mythes védiques
en Asie du Sud
Michel Angot
Sanskritiste
Au Centre André Malraux
78, bd Raspail / 112, rue de Rennes
- 75006 Paris
Métro : Rennes ou Saint-Placide
Dans le cadre d'un
nouveau partenariat, notre site est
heureux de vous permettre désormais
chaque moi de remporter un DVD
indien de qualité.
Synopsis
: Balraj Kapoor (Amitabh Bachchan)
est un riche homme d’affaires, dont
les idées sur la vie sont assez
modernes. Sa femme, Shobna est plus
qu’une simple épouse. Elle partage
ses idées et lui accorde son soutien
pour tout. Ils adorent tous deux, leur
fils unique, Avinash. Avinash
rencontre alors la belle Millie.Les
deux jeunes gens tombent amoureux et
se marient. Cependant, le bonheur de
Millie ne durera pas, Avinash meurt
dans un accident. Ravi Chopra, a
réussi un beau film, soutenu par des
acteurs de talent, Traitant du sujet
délicat du statut des veuves en
Inde, le scénario et les
dialogues parviennent à émouvoir le
spectateur tout en refusant les
excès du mélodrame.
Acteurs
:
Amitabh Bachchan, Salman Khan, Rani
Mukherjee
-
Réalisateur
:Ravi
Chopra -
Musique
:
Aadesh Shivastava -
Codage :
Multizone -
Langue :
Hindi -
Sous-titres :
Français -
Audio :
Dolby Digital 5.1 Surround -
Durée :168
minutes -
Genre : Romance, Drame.
Raghunath Manet se produit à l'Institut du Monde Arabe, à
Paris, du 23 au 26 janvier, à 20h30.
Plus d'informations sur
www.raghunath-manet.com .
En Inde, la danse et la musique sont au service des dieux. Les
compositions chantent la gloire des
rois, des dieux et des héros. Dans
la cour des rois, les musiciens se
rencontrent et s’échangent et
mélangent leurs trésors respectifs.
Raghunet Manet est resté fidèle à
cette précieuse tradition, en
multipliant les rencontres et les
expériences fusionnelles. Ce fut le
cas, entre autres, avec Didier
Lockwood, Michel Portal, Archie
Shepp ou Carolyn Carlson.et ça
l’est, cette fois, avec le fabuleux
violoniste tunisien, Jasser Haj
Youssef.
Loin des tendances «
folklorisantes », le style de ces
deux musiciens, issus d’horizons
différents, s'inscrit dans une
esthétique de musique où prime le
croisement des genres traditionnels.
Le répertoire du spectacle est
composé de morceaux festifs, de
chants dévotionnels, ainsi que de la
danse extrêmement rythmée dans
laquelle Raghunath exprime toutes
leurs qualités de maîtrise des
techniques du bharata nåtyam, danse
de l’Inde du sud, d’ordinaire jouée
exclusivement par des femmes, avec
un sens du rythme exceptionnel et un
bonheur de danser très communicatif.
Manet fait résonner le son de ses
grelots attachés aux chevilles au
son du violon de Jasser et les
cadences sophistiquées du
percussionniste indien Murugan. Avec
beaucoup de grâce dans la gestuelle,
il nous dévoile tout un patrimoine
de la période Taj Mahal : des danses
somptueuses et des compositions
lyriques. Il recrée et réactualise
cet art millénaire de danse sacrée
qui a tant fasciné les rois moghols.
Rares sont les artistes qui mènent
de front avec maestria une carrière
de danseur et de musicien (il
maîtrise excellemment la veena,
luth ancien du sud de l’Inde).
Raghunath Manet en est l’un d’eux.
Originaire de Pondichéry, il tenu
pour l’un des plus grands artistes
indiens au monde. Au zénith de son
art, ce maître de sensualité et de
précision interprète le Bharata
Najam, Couronné par la critique
indienne, cet ambassadeur des arts
traditionnels incarne à lui seul la
forme masculine de cette danse en
rappelant qu’à l’origine, le Dieu
Shiva est le premier danseur, le Roi
de la danse.
Paris, ville de cinéma. Avec ses
très nombreuses salles et tous ses
festivals, la capitale française
propose une offre cinématographique
quasiment incomparable. Cependant,
le cinéma du sous-continent indien
reste peu visible, et les quelques
projections ponctuelles de films
venant d'Asie du Sud ne suffisent
pas à montrer la richesse d'une
production encore largement
méconnue.
Constatant donc ce manque, nous proposons un festival unique afin
de présenter différentes
réalisations venant du Pakistan, du
Bangladesh, du Sri Lanka, du Népal
et des différentes régions de
l'Inde.
Trop souvent réduits dans la vision occidentale au kitsch de
Bollywood, les cinémas venant de
cette partie du globe se révèlent
bien plus variés et complexes qu'ils
n'y paraissent. C'est l'enjeu et le
défi de ce festival : ouvrir une
nouvelle fenêtre – un nouvel écran –
sur l'Asie.
Le festival est proposé par
l'association SAPNA, avec la
participation d'Aanna Films,
aura lieu du 16 au 20 janvier
2013 - Cinémas Gaumont
Champs-Elysées.
Le site
Sindbad Puzzle propose sous forme de puzzles des
chefs-d’œuvre de la miniature indienne et persane. C'est ainsi
que vous trouverez en puzzles 1000 pièces de magnifiques
peintures de l’époque moghole représentant le souverain dans ses
activités royales ou des scènes privées pleines d’un charme
intimiste ou bucolique.
Les images ont été sélectionnées avec soin pour leur beauté, leur
portée symbolique, leur richesse iconographique. Elles nous
transportent vers un monde où le raffinement des mœurs était
érigé en art et l’art en mode de vie. Cette collection de
puzzles a été créée dans le but de mieux faire découvrir ce
patrimoine artistique exceptionnel de l’Inde. es puzzles
enchanteront tous les amoureux de l’Inde et de ses richesses
culturelles. sont tout à la fois des objets ludiques, éducatifs
et culturels. Ils nous permettent une immersion dans l’œuvre
dans ses moindres détails et subtilités. Ils contribuent
utilement à l’épanouissement psychologique des enfants en
développant leur concentration, leur sens de la logique et de l’observation.A
l’approche de Noël, ces puzzles constituent des cadeaux
originaux et riches de sens à offrir à ses proches, aux amis,
etc. La gamme de puzzles sur le site qui leur est consacré
:
www.sindbad-puzzle.com Ces puzzles sont de la meilleure
qualité, en carton rigide et répondent à toutes les normes de
sécurité en vigueur dans l'Union Européenne. Grâce à des
machines de découpe spéciales, aucune pièce du puzzle n’est
semblable à une autre et chacune s’encastre parfaitement à sa
place.
Lorsque Alain
Peyrefitte écrivit en 1973 son livre
Quand la
Chine s’éveillera, le monde
tremblera,
il était prophète, car
personne ne pensait alors que la
Chine deviendrait le géant
économique d’aujourd’hui – nous,
Français, encore moins
que les autres.
Nul besoin d’être
prophète aujourd’hui pour se rendre
compte que l’Inde est la prochaine
grande puissance en Asie. Il se
pourrait même que ce pays
démocratique, libéral et
pro-occidental, devance la Chine
qui, tôt ou tard, devra faire face à
de graves problèmes sociaux et
économiques. D’ailleurs, les
Américains sont en train de miser
politiquement sur l’Inde, non
seulement pour contrebalancer la
puissance chinoise en Asie, mais
aussi parce qu’ils réalisent combien
le sous-continent indien, à la
croisée du Tibet, du Pakistan, de
l’Afghanistan et de la Birmanie, est
un pays d’une immense importance
géostratégique.
Nous, Français, nous
trouvons une fois de plus à la
traîne. D’une part, nous ne sommes
que le neuvième investisseur en
Inde, derrière Singapour, Chypre, et
même l’île Maurice, alors que nous
sommes complètement obnubilés par la
Chine ; d’autre part, l’Inde compte
très peu dans nos visées politiques
en Asie. Peut-être faudrait-il donc
examiner quelles œillères laissent
la France endormie tandis que l’Inde
s’éveille. Dix clichés qui
perdurent, consciemment ou
inconsciemment, et nous empêchent de
poser un regard économique et même
politique sur la prochaine grande
puissance mondiale.
Écrivain et journaliste
français, François Gautier fut le
correspondant en Inde et en Asie du
sud du
Figaro, durant huit ans.
Auteur de Un autre regard sur
l’Inde,
La Caravane intérieure et
Les Français en Inde,
François Gautier est aujourd’hui le
rédacteur en chef de la
Nouvelle Revue de l’Inde.
En ce
début d’année 70,
traqués, épuisés, sans argent, armés
seulement de guitares et de flûtes,
une horde de jeunes,
de Paris à San Francisco, s’est mise
en route comme les pèlerins du Moyen
Age vers les pays mythiques de
l’antique sagesse.
Que fuient-ils ? un
monde technico-policier
où ils n’ont plus la force de vivre
; un monde aseptisé, conditionné,
qui a détruit ses anciens idéaux, de
famille, de patrie, de religion,
pour les remplacer par la production
et l’argent.
Que recherchent-ils ?
La pureté, l’Amour, la Paix, pour la
première fois
se retrouver eux-mêmes,
“être” en un mot. C’est un retour
aux sources, vers ce “rêve
d’enfance”, vers ce paradis
terrestre où l’homme vit en harmonie
avec les êtres et les choses. Partis
nombreux pleins de Foi et
d’Espérance,
beaucoup, déçus, s’arrêteront en
chemin,
s’apercevant vite que les hommes
ici, même s’ils ne parlent pas la
même
langue, sont peu différents de ceux
qu’ils ont quittés. D’autres
s’enfoncent dans les
paradis artificiels ou se regroupent
dans des villages au hasard des
expériences et des
rencontres, dans des communautés
hindoues ou bouddhistes, à la
recherche de
l’Absolu…
Ecrit
“sur le terrain”, en 1970,
juste avant la
fondation de Médecins sans
Frontières
au Biafra, ce
Trip indien
rassemble des notes, des photos et
des croquis
essayant d’éclairer
d’une lumière objective
la grande Quête d’une certaine
jeunesse
qui refuse notre monde moderne et
tente de retrouver la trace de Dieu.
De la
descente du Gange
à son
entretien avec le Dalaï Lama,
de ses
expériences hallucinatoires
aux
rencontres avec les Hippies,
c’est le
carnet inédit d’un incroyable voyage
que nous propose
l’humaniste Docteur Pascal Grellety-Bosviel.
L'Auteur -
Le docteur Pascal Grellety-Bosviel
est né en 1931 à Paris. Il débute
ses missions humanitaires en 1962 en
tant que médecin coordinateur, en
Inde, puis suivront le Yémen, le
Tchad, la Malaisie, l’Algérie, le
Pakistan, le Liban etc. C’est au
Biafra, en 1971, qu’il participe à
la fondation de Médecins Sans
Frontières. Il devient ensuite
Directeur national des opérations de
secours de la Croix Rouge française.
Il collabore jusqu’en 2008 à
d’autres missions dans le monde
entier, après 45 années consacrées à
l’humanitaire.
Trip indien - De l’Inde des
hippies à la création de MSF aux
éditions
Elytis
DR PASCAL GRELLETY-BOSVIEL Format : 120x165mm /
couverture cartonnée,
cahiers cousus,
4 cahiers couleurs / 384 pages
Prix TTC : 18 euros
N° ISBN : 9782356391018
Parution : 4 octobre 2012
Sigiriya,
le Rocher du Lion : le
nouveau roman d'Alain Delbe,
aux
éditions Argemmios. Résumé : Au Vème siècle après J.-C., Kassapa 1er, parricide
et roi de Lanka, fit bâtir, au
sommet d’un immense rocher, un
palais fabuleux : Sigiriya, dont
l’escalier d’accès se nichait dans
le corps sculpté d’un lion colossal.
De nos jours encore, on peut en
visiter les ruines, classées au
patrimoine mondial de l’humanité par
l’UNESCO, et qui forment l’un des
plus célèbres sites archéologiques
de l’Asie.
L’Histoire officielle donne à Kassapa le mauvais rôle, mais Alain
Delbe, s’appuyant sur un ancien
manuscrit dont un certain professeur
Pereira lui a transmis des bribes
peu avant sa mort, pense que la
réalité fut bien différente...
De l’Inde du Sud à Ceylan la mystérieuse, il retranscrit pour nous
les aventures de Dhola, conteur et
brigand indien, et comment celui-ci
a été amené à recueillir, de la
bouche même de Kassapa, le récit de
sa vie.
Intrigues, amours, combats, magie… Que sont les mortels dans la
paume de Shiva, et que sont les mots
sous la plume des hommes ?
L'auteur :
Psychologue pour enfants, Alain Delbe est un écrivain de
talent. Auteur de nombreuses
nouvelles publiées dans diverses
revues et anthologies, d’un essai de
psychanalyse et de plusieurs romans
(François l’Ardent, Golems, Le
Complexe de Médée), il s’est fait
remarquer dès 1994 en obtenant le
prix Alain-Fournier avec Les Îles
Jumelles.
Illustrations de couverture et intérieures : Mathieu Coudray
Format : 14 par 20
352 pages
Caractéristiques techniques :
broché, dos carré collé, première
édition.
Genre : fantasy historique à
tendance uchronique
Date de parution : 12/09 /2012
ISBN : 978-2-919049-07-3
Prix : 20 euros
Distribué par Aanna Films.
Jusqu’à mon dernier Souffle -La dernière
œuvre de
Yash Chopra. Le 21 octobre 2012,
quelques jours seulement avant la sortie de
Jusqu’à mon dernier Souffle,
Yash Chopra s’est éteint, laissant le cinéma
indien endeuillé. Pendant plus de quarante
ans, il fut l’un des producteurs et des
réalisateurs les plus influents de l’Inde,
façonnant grâce à son immense talent le
cinéma indien. Véritable monument de
Bollywood, Yash Chopra a produit et a
réalisé de nombreux films ayant marqué
l’histoire du cinéma.
Avec Yash Raj Films, sa
société de production, il était à
l’origine de quelques-uns des plus
gros succès cinématographiques
indiens de ces trente dernières
années ; Yash Chopra revenait enfin
en cette année 2012, en tant que
réalisateur avec
Jusqu’à mon dernier Souffle,
une fresque romantique vibrante
entre l’Inde et Londres. Le film
plonge dans l’histoire de Samar,
personnage mystérieux et introverti,
qui rejoint l’armée indienne pour
fuir sa vie passée à Londres. Au
Cachemire, il rencontre Akira, une
jeune journaliste qui tombe
éperdument amoureuse de lui. Mais le
passé trouble de Samar rend l’amour
impossible et contrarié… Les deux
actrices phares de la jeune
génération de Bollywood, Anushka
Sharma et Katrina Kaif
partagent l’affiche avec l’immense
comédien mondialement connu,
Shahrukh Khan (qui formera pour
la première fois un couple au cinéma
avec Katrina Kaif ).
Avec en toile de fond
l’amour et la guerre et sur une
bande originale époustouflante du
fabuleux compositeur indien de
musiques de films A.R.Rahman
(qui a remporté deux oscars à
Hollywood dont celui de la meilleure
musique de film et celui de la
meilleure chanson pour Slumdog
Millionnaire),
Jusqu’à mon dernier Souffle
promet de marquer l’histoire du
cinéma, sept ans après Veer Zaara,
le dernier opus du réalisateur.
Jusqu’à mon dernier Souffle,
apparaît alors comme un film
testament de Yash Chopra. Un mythe
de Bollywood s’est éteint et ce film
s’annonce déjà historique…